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Quand des rêves de financiers deviennent les cauchemars des peuples …

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FinanceAu travers de la social-démocratie, le libéralisme est dévoyé par la finance et le grand patronat tandis que des socialistes s’en revendiquent. L’immigration musulmane cristallise les aberrations du régime. Le système s’auto-détruit ; l’islam accélère sa putréfaction.

La social-démocratie n’est ni socialiste ni libérale. Ce régime hybride empreint de logique financière consiste à monnayer la paix sociale au prix de l’assistance publique, et à substituer les acteurs sociaux aux instances démocratiques ; lesquelles sont ainsi réduites de facto à des chambres d’entérinement. Les gouvernements peuvent imposer aux Peuples d’Europe des décisions supra-nationales, inspirées de lobbies mercantiles impersonnels, d’autant plus aisément que les représentants élus de la Nation sont neutralisés de la sorte.

Fait significatif, les États membres de l’Union européenne sont tous des social-démocraties. Son objet premier est la libre circulation des biens et de la main d’œuvre ; bref, priorité au marché élargi. Peu importe le citoyen à qui la bureaucratie de Bruxelles a le culot de reprocher de ne pas être en phase avec le mondialisme auquel elle s’emploie. La perspective suivie maintenant tend à arrimer le marché européen aux États-Unis par la conclusion du traité transatlantique.

STABILISATION DU MARCHÉ AU MÉPRIS DU CITOYEN

Au prisme de cette logique financière, la main d’œuvre musulmane s’apprécie à l’aune bureaucratique, sans tenir compte de facteurs non valorisables pécuniairement. Résultat, sont minimisées ou négligées les incompatibilités découlant de l’islam. Le vivre-ensemble se traduit donc par des « accommodements » consentis aux plus radicaux, quitte à brader les valeurs démocratiques, sous prétexte qu’ils seraient  «raisonnables » pourvu que la société demeure un marché stable de consommation. Cette vision terre à terre de boutiquier est la cause première de la déliquescence du système. Le bureaucrate y voit de la bonne gouvernance alors que c’est de la folie furieuse.

Les Peuples d’Europe ont des aspirations plus élevées, à commencer par le respect qui leur est dû, en particulier sur leur territoire. L’incivisme du grand patronat se précipitant à la rescousse de déserteurs syriens, de porteurs de faux-papiers, et d’autres hors-la-loi sous prétexte de besoin de main d’œuvre, est un spectacle scandaleux qui éveille la prise de conscience populaire.

Les citoyens constatent d’autant mieux que d’importants moyens sont disponibles pour ces prétendus « migrants » alors que ceux-ci sont refusés à des Européens au nom de l’austérité. La sécurité sociale, en logique financière, ne s’entend pas sans contre-partie. Ceux qui menacent de déstabiliser le système sont gratifiés afin de les en dissuader. C’est ainsi que le pensionné européen, par exemple, ne menaçant personne, est laissé pour compte tandis que l’immigré reçoit de quoi entretenir jusqu’à sa smala vivant à l’étranger et inviter tout le bled à en profiter via le regroupement familial ou le tourisme médical.

SUBVERSION ANTI-DÉMOCRATIQUE

Graduellement, le fondement même de la démocratie a été détruit en ce que la séparation des pouvoirs a été vidée de sa substance. La réalité actuelle en est l’exact inverse : l’asservissement des pouvoirs. En effet, l’œuvre législative est généralement d’initiative gouvernementale par des projets relayés ensuite par le Parlement. Viennent seulement en second les propositions parlementaires, soumises d’ailleurs à l’imprimatur des bureaux politiques des partis traditionnels composant le microcosme en place.

Quant aux partis hors-système, les législations française et belge, entre autres en Europe, les tiennent à l’écart des institutions au mépris de leur représentativité réelle. Et lorsqu’ils parviennent à y accéder, l’examen de leurs propositions législatives est délibérément entravé par les règlements internes du Sénat et de l’Assemblée. C’est du déni avéré de démocratie.

Pourtant, les citoyens tiennent bon, et se coalisent de plus en plus, de mieux en mieux. Décembre 2015, les Français ont infligé un camouflet sans précédent au microcosme. Inflexion analogue dans l’axe : mars 2016, les Allemands voteront aussi. La déferlante migratoire teintera d’exaspération le scrutin d’outre-Rhin. PEGIDA a bien lancé l’alerte, d’est en ouest. Entre-temps, Merkel et le grand patronat jouent la montre en tentant d’imposer, jusqu’à l’engorgement, des populations principalement musulmanes sur le sol teutonique. Escompter placer les Allemands devant le fait accompli, lourde faute !

NI QUATRIÈME POUVOIR NI FRONTIÈRES : L’ÉTAT LAMINÉ

Que dire du prétendu quatrième pouvoir ? Rares sont les journalistes d’investigation ; la plupart ont pour tâche ordinaire de paraphraser des communiqués d’agences de Presse. Le plus souvent, ils sont employés. Or, le lien de subordination salariale ne favorise pas l’indépendance. C’est le moins que l’on puisse dire. Qui plus est, leurs employeurs s’alimentent de subsides provenant du pouvoir en place. En outre, la concentration des titres en quelques mains seulement rend illusoire les différences rédactionnelles initiales : tel quotidien catholique ou tel journal de gauche laïcarde se retrouvent dans le portefeuille actionnarial d’un même groupe de gestion. Voir en cette uniformisation de propagande un quatrième pouvoir prête à sourire.

Au délitement des institutions internes s’ajoute le mépris des limites territoriales. C’est une faute historique, un stupide déni européen de réalité mondiale : partout ailleurs, elles sont affirmées ou revendiquées, et de nouvelles frontières ont été tracées au cours des vingt dernières années à raison d’une ampleur correspondant à la circonférence du globe terrestre. Illusoire vision mercantile de l’Union européenne, ses frontières intérieures ont été malmenées sans compensation par des renforts suffisants pour le contrôle des frontières extérieures. Or, celles-ci doivent être défendues manu militari. Cette nécessité militaire prime tout, y compris les attentes de cohortes d’étrangers invoquant le droit d’asile. Aucun traité n’impose de céder à des manœuvres collectives tendant à imposer le franchissement de frontières. Bruxelles devrait tirer les enseignements de fermeté militaire australienne. L’aberration interculturaliste mourra d’autant mieux qu’elle s’accentue par la crise des « migrants« .

DÉSINFORMATION ET INFLATION MIGRATOIRE

Au demeurant, le mimétisme rédactionnel traduit dans les faits la servilité médiatique : contenus semblables, uniformisation des sujets traités, doxa commune notamment en matière d’immigration. Un exemple ? Au sujet des récents événements en Corse, désinformation générale en usant de l’euphémisme « lieu de prières » cachant aux citoyens qu’il s’agissait d’une mosquée clandestine ; c’est ainsi que cette Presse univoque a victimisé les musulmans qui avaient violé la loi à cet égard.

Exigence du marché, l’immigration est organisée de sorte qu’elle puisse s’accroître largement tout en donnant le change aux citoyens récalcitrants. Le grand patronat est demandeur de ces envahisseurs, paradoxalement soutenu en cela par des milieux de gauche déterminés à s’accaparer ce nouvel électorat, mais aussi par des partis étiquetés à droite ratissant tous azimuts.

Au-delà de mesures dérisoires de limitations migratoires sont ouvertes des filières dérogatoires (demande d’asile, regroupement familial, traitement humanitaire, etc.). Ces dérogations sont devenues pratiquement la règle. Les abus, demeurent globalement sans sanction, au point d’être les principaux vecteurs migratoires. Ainsi, les populations allochtones augmentent sans cesse, car les ordres de quitter le territoire sont rarement appliqués et ceux qui persistent à y rester au mépris de nos lois voient finalement leurs situations régularisées sous prétexte d’intégration entre-temps. L’infraction est récompensée par le système. L’islam se propage en toile de fond de ce détournement systématique de législations encouragé par le grand patronat et les spéculateurs financiers.

RETOUR À LA FÉODALITÉ, VERSION FINANCIÈRE

La social-démocratie a de facto instauré l’oligarchie ; à tout le moins, elle lui a ouvert un boulevard. Les acteurs sociaux y passent pour des interlocuteurs représentatifs. En revanche, aberration criante, les citoyens se voient dénier le droit de s’exprimer directement quoiqu’ils soient de plein droit naturel détenteurs de la souveraineté populaire. Référendum et consultation populaire sont interdits ou illusoirement autorisés par des mécanismes pratiquement impossibles à mettre en œuvre. De surcroît, l »individu est sommé de se soumettre au politiquement correct ; lequel incline à se fondre dans la masse.

Le capitaine d’entreprise voit son action bridée. Il est dissuadé d’agir isolément par de pesantes législations, en constante augmentation, dont tirent profit des structures collectives capitalistiques ; en somme, la multinationale se trouve favorisée au mépris de la PME. L’inflation législative étouffe le dynamisme individuel. Les forces vives sont vampirisées par l’alliance contre-nature du bureaucrate et du banquier. De cette façon, l’autorité publique réserve la liberté d’entreprendre au grand patronat à qui les PME doivent pratiquement allégeance pour assurer leur croissance, sans parler d’une fiscalité oppressante au détriment surtout des classes moyennes.

Avantages fiscaux ou autres formes de subsidiation, le microcosme développe sa clientèle politique et formate l’entreprise. Ce n’est pas du libéralisme ; c’est de la social-démocratie dégénérée en système oligarchique oppressif.

Retour à la féodalité, mais sans héroïsme, où les dividendes font figures de prouesses de financiers anonymes. Aucun élan social ni la moindre image forte de vainqueur au nom de valeurs qu’ont en partage les Peuples d’Europe. En termes d’idéal, le boutiquier usurpe la place du chevalier dans l’imaginaire des Européens de souche, sans même la notion de justice ou de redressement de tort. L’horizon de la finance est aussi terne que les porteurs de complets gris qui hantent les conseils d’administration.

PARASITAGE SOCIAL

Les milieux mercantiles n’ont qu’une conception quantitative de la grandeur : un marché à étendre, des PME à asservir par des législations sur mesure, des salaires à contenir par l’immigration et des profits à augmenter ;

le tout financé par la collectivité via la dette publique à charge principalement des classes moyennes. Car ce sont elles qui, par la fiscalité notamment, payent le prix fort de l’immigration dérégulée dont profite le grand patronat. Somme toute, la multinationale a essentiellement des rêves d’épicier en grand. En réalité, c’est du parasitage.

Or, les Européens, eux au contraire, ont forgé leur Histoire avec des chefs animés de gloire. Et l’islam n’a jamais été au programme sur leur territoire sauf comme ennemi. Les circonstances sont propices à l’avènement de nouveaux leaders des Peuples d’Europe.

Le microcosme politico-médiatique est hors-sol, incapable de concevoir la re-migration. Tant que l’autorité publique n’aura pas inversé les flux migratoires musulmans, et ce qu’ils impliquent de propagation de la charia, les scrutins successifs exprimeront une intensification accrue de l’exaspération citoyenne jusqu’à l’insurrection au besoin. La démocratie mérite d’être défendue, et ce microcosme la trahit actuellement.

INVERSION DES VALEURS ET CONSOMMATION

Signe indéniable de l’altération de la démocratie, le Judiciaire est le parent pauvre des pouvoirs fondamentaux. À l’instigation d’acteurs sociaux, outre divers activistes ayant gangréné la Justice, l’avachissement intellectuel se réclamant de l’humanisme a inversé valeurs et priorités. Délinquants et criminels ont prospéré à la faveur de la culture de l’excuse. En outre, ces derniers sont littéralement protégés par le dénigrement systématique des Forces de l’Ordre et, corrélativement, par la jurisprudence qui limite la légitime défense à une réaction proportionnelle.

Ce concept saugrenu sanctionne injustement l’honnête homme s’avisant de riposter, et dissuade donc le citoyen lambda de tenir en échec quiconque s’en prend à lui. Le conditionnement à la passivité, c’est un pas vers le monde d’Orwell. À s’y laisser mener, le vivre-ensemble ne sera plus qu’une accoutumance à la soumission, une indifférence envers les libertés individuelles. Oui, concept saugrenu, tant il est insensé de reprocher à la victime de n’avoir pu réagir avec le détachement et le sang-froid qu’un magistrat imagine ultérieurement en chambre, qu’elle aurait dû avoir en dépit de l’agression subie. Cette jurisprudence imbécile offre la part belle à ceux qui ont l’initiative des moyens et du moment : les criminels et les délinquants. Et l’on s’étonne du délitement des valeurs alors qu’il est aggravé par le dysfonctionnement judiciaire.

Le SYNDICAT DE LA MAGISTRATURE en France, pour ne citer que lui, est moins loquace à propos de la chienlit qu’il ne s’indigne frénétiquement à toute évocation de répression effective. Ce n’est que tout récemment, et timidement, que la bien-pensance humaniste concède quelque peu d’intérêt aux victimes de la criminalité tout en persistant à victimiser la faune des prétoires. Les campagnes électorales abordent à peine la question judiciaire sauf sous l’angle de l’insécurité. La répression figure parmi les idées honteuses. À peine est-elle évoquée que le démago de service s’en excuse aussitôt en entonnant l’ode rituelle à la prévention. Mais l’on oublie trop souvent les autres aspects de la Justice laissée en rade (juridictions commerciales, etc), et qui se préoccupe, par exemple, des carences de moyens subies au quotidien par les greffes ?

REJET PROGRESSIF DES PARTIS TRADITIONNELS

Justice en ruines, amenuisement de la séparation des pouvoirs, désinformation et de surcroît identité bafouée, tout cela, les Européens n’en veulent plus. Seule subsiste une discordance temporaire entre ceux qui craignent encore le changement et s’accrochent désespérément aux promesses de revirement d’attitude, et ceux qui ont compris que l’heure de la véritable alternance a sonné. Progressivement, les indécis se rallient aux plus intrépides.

Les partis traditionnels et leurs zélateurs journalistico-militants n’apportent aucune solution, et pour cause puisqu’ils sont le problème. Leurs nouvelles promesses ne seront pas mieux tenues que les précédentes. Les contorsions journalistiques tendant à les soutenir achèvent de discréditer la Presse. Pour eux, le compte à rebours a commencé.

Ils ont tout faux. D’une part, ils appréhendent mal l’attitude du citoyen. Vis-à-vis de lui, ils sont d’une condescendance inouïe ; attribuant sa volonté d’être respecté à la peur d’autrui inclinant à un repli sur soi. À les entendre, eux auraient un génie visionnaire tandis que le citoyen en serait dépourvu ; curieuse conception du pouvoir qui s’apparente davantage au despotisme éclairé qu’à la démocratie. D’autre part, ils n’osent pas aller jusqu’au bout de leur logique financière sinon ils se seraient aperçus de la contre-productivité de l’immigration musulmane.

Plutôt que traiter de l’immigration indistinctement, car il y a de nombreux allochtones qui ne posent aucun problème, nos apprentis-sorciers du vivre-ensemble seraient mieux avisés de chiffrer spécifiquement le coût désastreux de l’islam par, entre autres, le terrorisme, la délinquance accrue, ou diverses revendications musulmanes. Que coûte à la collectivité, par exemple, dans les aéroports internationaux, la contre-valeur financière du temps perdu par tous les Européens au cours d’attentes multiples lors de mesures de sécurité rendues nécessaires par ce qu’induit l’islam ?

AVANCÉES INÉLUCTABLES DES PARTIS CITOYENS

Le microcosme s’enlise de plus en plus profondément, car il se refuse à la remigration d’indésirables, s’entête à en ajouter en installant les prétendus « migrants » largement musulmans, et va jusqu’à dédouaner l’islam du terrorisme. Or, l’islam est une idéologie totalitaire, sous couvert de religion, qui tend à la colonisation des territoires où elle se propage. Même en éradiquant le chômage, et ce ne sera pas le cas, l’indignation citoyenne ne diminuera pas. Au contraire, cette logique islamique d’invasion achèvera de convaincre les citoyens de se révolter ; d’autant que le terrorisme musulman ne fait que commencer.

Le réveil citoyen se répand dans toute l’Europe. Au-delà de divergences dites de droite ou de gauche, de PEGIDA à PODEMOS ou du FRONT NATIONAL à SYRIZA, un socle commun : le rejet croissant des partis traditionnels dont les scores électoraux s’érodent, de scrutin en scrutin, et partout quoiqu’à des rythmes différents et des sensibilités diverses. L’Histoire jugera sévèrement l’étendue de l’impensé de ce microcosme qui in fine aura provoqué lui-même les causes de son renversement. C’est lui qui constitue la meilleure garantie de progression des partis citoyens qui émergent.

PUBLIÉ PAR PHILIPPE CHANSAY WILMOTTE LE 4 JANVIER 2016,
Avocat au Barreau de Bruxelles,
Président de Valeurs Libérales Citoyennes

© Philippe Chansay Wilmotte pour Dreuz.info.

Source : Dreuz.info

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