Un nouveau rapport de la Fédération mondiale de l’obésité a révélé que 88% des décès au cours de la première année de la pandémie se sont produits dans des pays où plus de la moitié de la population est classée en surpoids – ce qui est défini comme ayant un indice de masse corporelle (IMC) supérieur à 25. Il convient de noter que les valeurs d’IMC supérieurs à 30 – considérées comme obèses – sont associées à « des résultats particulièrement graves », selon le Washington Post.
D’autre part, dans les pays où moins de la moitié de la population adulte est considérée comme en surpoids, le risque de décès par Covid-19 est d’environ un dixième des pays avec la plus forte proportion d’adultes en surpoids. Des IMC plus élevés sont également associés à un risque accru d’hospitalisation, d’admissions aux soins intensifs et au besoin d’une ventilation assistée mécaniquement.
Les pays « en surpoids » en question comprennent la Grande-Bretagne, l’Italie et les Etats-Unis – ces derniers ayant connu plus de 517 000 décès du Covid-19 sur un total de 2,5 millions dans le monde.
De manière surprenante, le Post suggère également que les corrélations entre la gravité et le poids du coronavirus sont également liées à une trop grande inégalité raciale et ethnique ».
Comment est-ce possible ? Parce que les adultes noirs hispaniques et non hispaniques ont une tendance plus élevée de l’obésité et sont plus susceptibles de souffrir de pires résultats du Covid-19 », selon le CDC.
Au Royaume-Uni, les patients en surpoids Covid-19 étaient 67% plus susceptibles de nécessiter des soins intensifs, tandis que les patients obèses étaient trois fois plus susceptibles.
Le Premier ministre Boris Johnson, qui a été hospitalisé et a eu recours à une oxygénothérapie après avoir contracté la maladie au printemps dernier, a fait campagne ces derniers mois pour que les Britanniques perdent du poids afin de réduire les risques pour la santé et de soutenir le service national de santé surchargé du pays.
S’exprimant l’année dernière, Johnson a déclaré qu’il avait longtemps lutté avec son poids et qu’il était trop gros lorsqu’il a été écoeuré par la maladie qui a fait plus de 124 000 morts au Royaume-Uni. Il est souvent aperçu en train de courir près de chez lui, dans le centre de Londres, aux côtés de son entraîneur personnel – Washington Post.
« Les conclusions de la Fédération mondiale de l’obésité étaient presque uniformes à travers le monde », selon le Post, qui note que le rapport à révélé que l’augmentation du poids corporel est le deuxième plus grand prédicateur de mauvais résultats après la vieillesse.
Selon les Nations Unies, contrairement à ce que nous dit l’industrie de la mode éveillée, « l’obésité est une pandémie mondiale à part entière ».
Source: zerohedge
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Les médias nuisent gravement à l’intelligence et à la logique !
On veut installer les gros comme étant une nouvelle norme : à qui cela profite t-il ? Surement pas aux gros qui paient le prix fort pour leurs excès…
Y a t-il des vieux gros ? très peu, comme pour les grands mais qui pour le coup n’y sont pour rien, eux !
Donc les gens obèses trinquent, une fois de plus.
Mais quand on ne se respecte pas soi même, la porte de sortie après des années de malaise c’est souvent à l’horizontale : un choix discutable.