Les politiques canadiennes de confinement ont été et restent parmi les plus strictes et les plus restrictives de tout le monde occidental. C’est peut-être une chose du Commonwealth, étant donné que l’Australie et la Nouvelle-Zélande sont également devenues des îles méconnaissables de tyrannie par rapport à la santé publique cruelle et capricieuse.
En Ontario, les citoyens sont désormais autorisés à manger du pop-corn dans les cinémas, qui n’ont rouvert qu’en début de semaine lundi à 50% de leur capacité, et uniquement à cause de la raclée complète à laquelle le gouvernement a été soumis concernant cette directive de santé publique ridicule et imaginaire…
La vie au Canada a été fastidieuse, tyrannique et indescriptiblement punitive. C’est pourquoi pendant de nombreux mois tout au long de la pandémie, les Américains ordinaires et les experts ont observé les pays du nord depuis leurs pays plus libres (les États rouges au moins) et se moquaient des Canadiens, privés de leurs libertés de base. Les Canadiens passaient pour un peuple vraiment très poli, se moquaient-ils, capables de rendre leurs armes et leur liberté d’expression, face à cette dictature sanitaire.
Et puis un beau jour, le premier ministre Trudeau a poussé le bouchon trop loin pour les gentils Canadiens.
Le 15 janvier, son gouvernement minoritaire a promulgué une obligation vaccinale pour les camionneurs transfrontaliers canadiens – dont 80 % seraient déjà vaccinés . Alors les camionneurs ont dit que la responsabilité s’arrêtait ici. Ils ont rapidement organisé une campagne populaire, mis en place un « GoFundMe » et envoyé un convoi de 64 kilomètres de long à Ottawa, en direction de la capitale du Canada. Ce n’est pas une manifestation contre les vaccins, c’est une réaction contre les obligations vaccinales. Et même si les médias mainstream disent que mes manifestants sont des racistes, les organisateurs sont un Juif du nom de Benjamin Dichter et une Métisse du nom de Tamara Lich. Les obligations pour les camionneurs ont été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase des Canadiens. Le convoi des camionneurs pour la liberté est maintenant campé à Ottawa, exigeant la fin de tous les mandats de vaccination et le rétablissement des libertés canadiennes.
Fait intéressant, alors que le convoi de 50 000 camions s’approchait d’Ottawa depuis Vancouver, Trudeau a tweeté qu’il devrait s’isoler pendant cinq jours parce qu’il avait été en contact étroit avec quelqu’un qui avait été testé positif. Et alors que les camionneurs et leurs partisans descendaient sur la ville, il a été emmené avec sa famille dans un endroit non divulgué « pour des raisons de sécurité », puis a rapidement annoncé qu’il avait été testé positif au coronavirus.
Avec plus d’un million de citoyens dans leur capitale manifestant pour la liberté et des milliers de camionneurs déterminés et qui saturent toutes les routes autour de la Colline du Parlement, Trudeau n’a offert aucune solution aux manifestants. Non, il ne les rencontrerait pas, ces racistes, misogynes. Ces Canadiens avec des « opinions inacceptables ».
Non, au lieu de calmer les esprits et de parler avec la population, il a redoublé d’efforts et a commencé une série d’attaques verbales grotesques contre les manifestants multiethniques, multiculturels, avec des membres des peuples autochtones très fortement représentés. Pour ajouter l’insulte à l’injure, son ministre fédéral des Transports a simultanément annoncé que non seulement les obligations vaccinales et transfrontaliers seraient maintenus, mais que des plans étaient bien avancés pour que le gouvernement mette en œuvre une obligation vaccinale interprovinciale, en particulier pour les camionneurs. Quelle attitude incompréhensible. Après tout ce qu’il a fait pour nous, les paysans sont des ingrats ! Comment les gens osent-ils ne pas être reconnaissant de leur Cher Leader ?
Rappelez-vous de la première page de certains journaux américains du 6 janvier, où les médias mainstream canadiens (largement subventionnés par les contribuables canadiens) ont choisi de mettre en évidence l’excentricité d’une seule personne dans la foule avec le mauvais drapeau (précisément un confédéré et un nazi) et ont ajouté une haine supplémentaire envers les pacifiques, des manifestants ordonnés et patriotiques. Leurs homologues journalistes américains ricanent encore de ces anecdotes.
Avec le premier ministre toujours dans la clandestinité, oups, désolé, « l’isolement », on pourrait penser que ce serait l’occasion d’un grand changement de vie pour les conservateurs, en particulier le loyal chef de l’opposition de Sa Majesté, de, comme l’a exhorté le professeur Jordan Peterson, à saisir l’occasion et mettre un coup de vis sur le premier ministre, pour qu’il se montre à la hauteur pour une fois.
La rhétorique du gouvernement contre les manifestants s’intensifie. Le gouvernement libéral et le maire libéral d’Ottawa exhortent les manifestants à partir, mais les camionneurs disent qu’ils ont suffisamment de fournitures pour une campagne de deux ans et qu’ils ne rentreront pas chez eux tant que la liberté ne sera pas revenue et que toutes les obligations vaccinales ne seront pas annulées.
Les marées changent au Canada et l’opinion publique semble être avec le convoi. Inspirés par les camionneurs canadiens, des camionneurs américains, européens et australiens lancent également leurs propres convois de la liberté. Aussi inimaginable que cela aurait semblé il y a quelques semaines à peine, les Canadiens sont maintenant perçus à l’échelle internationale comme un « rayon de soleil » et une source d’inspiration.
Justin Trudeau va-t-il céder et négocier ? Ou encore Capituler ? Ou les attaques verbales sans classe de Trudeau se transformeront-elles en représailles physiques contre les camionneurs pour la plupart de la classe ouvrière, leurs partisans sur le terrain à Ottawa et les millions de Canadiens qui sont également en désaccord avec lui par rapport à toutes ces obligations vaccinales.
Ils exigent leur liberté ? Restez à l’écoute, car la situation évolue très vite !
Source: zerohedge
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