Les responsables des « Centers for Disease Control and Prevention » (CDC) des États-Unis qui diffusent des informations erronées sur les décès d’enfants par COVID-19 devraient faire l’objet d’une enquête pour violation des politiques d’intégrité scientifique de l’agence, a déclaré un groupe de surveillance.
Drs. Katherine Fleming-Dutra et Sara Oliver ont toutes deux affirmé que les décès d’enfants liés au COVID-19 étaient plus élevés qu’ils ne l’étaient en réalité, et ont refusé de corriger la désinformation après avoir reçu les chiffres corrects, indique la plainte, citant des informations d’Epoch Times.
Les directives d’intégrité scientifique du CDC indiquent que l’agence considère la responsabilité et l’intégrité comme des valeurs fondamentales, déclarant en partie que « tous les produits d’information rédigés, publiés et diffusés par le CDC pour un usage public sont de la plus haute qualité et sont scientifiquement sérieux, techniquement exacts et utile au public visé.
« Protect the Public’s Trust », le chien de garde qui a déposé la plainte, a exhorté l’inspecteur général du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) à enquêter sur les violations apparentes. Le CDC fait partie du HHS.
« Idéalement, ils enquêteraient sur l’incident et ce qui s’est passé et détermineraient si oui ou non certains responsables au sein du CDC ont violé les politiques d’intégrité scientifique de l’agence. Nous pensons qu’ils l’ont fait », a déclaré Michael Chamberlain, directeur de « Protect the Public’s Trust », sur Epoch Times.
Le bureau de l’inspecteur général a déclaré avoir reçu la plainte et a refusé de commenter davantage. Le CDC et le HHS n’ont pas répondu aux demandes de commentaires. Fleming-Dutra et Oliver n’ont pas répondu aux demandes répétées.
Allégations trompeuses
Fleming-Dutra et Oliver ont tous deux déclaré que le COVID-19 était l’une des principales causes de décès chez les enfants lors de la présentation de données au comité consultatif sur les vaccins du CDC avant que le comité ne vote pour recommander au CDC d’autoriser tous les enfants aux États-Unis entre 6 mois et 5 ans, catégorie d’âge qui a reçu un vaccin Moderna ou Pfizer.
Les diapositives de leurs présentations citent un article non évalué par des pairs de scientifiques britanniques, qui ont analysé les données des certificats de décès du CDC.
Les scientifiques ont ensuite corrigé l’étude après avoir admis qu’ils ne comprenaient pas parfaitement comment les données du certificat avaient été rapportées.
Quelques jours après les présentations, les deux responsables ont été alertés d’avoir répandu de fausses informations, des e- mails obtenus par « The Epoch Times » le montrent. Mais les responsables ont balayé les inquiétudes et n’ont jamais publié de correction.
« Le sentiment général [est] que » même 1 décès évitable par le vaccin contre le COVID est trop, quelle que soit la façon dont vous les comptez, a écrit Oliver dans l’une des missives.
Il n’existe aucune preuve montrant que les vaccins protègent contre la mort chez les jeunes enfants.
Le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a ensuite fait référence à l’étude, et le site Web du Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation, le groupe consultatif sur les vaccins, la cite toujours. Aucun des deux n’a reconnu sa mise à jour.
On ne sait toujours pas pourquoi les responsables du CDC n’ont pas effectué leur propre analyse des données du certificat.
« Je ne comprends pas pourquoi ils ne semblent pas savoir comment utiliser leurs propres ressources », a déclaré à Epoch Times Kelley Krohnert, une chercheuse citoyenne qui a alerté les auteurs de l’étude sur les erreurs. « C’est très étrange. »
Confiance publique
Les violations apparentes de la politique d’intégrité scientifique incluent le fait de s’appuyer sur une étude non évaluée par des pairs et de ne pas découvrir la surestimation massive des décès d’enfants par COVID-19, indique la plainte de « Protect the Public’s Trust ».
Source: zerohedge
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