Malgré toutes les preuves du contraire, l’administration Biden continue d’insister sur le fait que l’économie américaine est sur la bonne voie. Mais est-ce vraiment honnête de dire ça ? Grâce à la Réserve fédérale, les taux d’intérêt sont maintenant beaucoup plus élevés et la masse monétaire s’est contractée au rythme le plus rapide depuis la Grande Dépression. En conséquence, les grandes entreprises procèdent à des licenciements massifs, la bulle immobilière explose et l’activité économique ralentit rapidement dans tout le pays. Mais si vous demandez à Joe Biden et à ses sbires, ce à quoi nous assistons fait partie du projet. En fait, ils continuent de parler de « Bidenomics » comme si c’était une bonne chose…
L’annonce de lundi fait partie de la plus grande stratégie de Biden pour son projet économique surnommé » Bidenomics « , qui » est enraciné dans l’idée simple que nous devons faire croître l’économie du milieu et du bas vers le haut – pas du haut vers le bas uniquement « , Dunn et Donilon a écrit.
La proposition économique du président comprend des projets pour augmenter les impôts des plus riches et des entreprises afin de subventionner les programmes sociaux, climatiques et de santé.
Laissez-moi tranquille.
Je n’achète pas ce qu’ils vendent, et la plupart des autres Américains non plus. Selon une enquête récente, bien plus de la moitié de tous les Américains désapprouvent la façon dont Biden a géré l’économie jusqu’à présent…
Plus de la moitié – 54% – des Américains désapprouvent la façon dont Biden s’acquitte de son travail, tandis que seulement 35% des personnes interrogées ont approuvé sa gestion de l’économie, selon un sondage Reuters / Ipsos réalisé plus tôt ce mois-ci.
Ces chiffres sont un mauvais signe pour Biden et ses collègues démocrates.
Bien sûr, Biden n’est pas responsable de l’inversion étonnante de la croissance de la masse monétaire à laquelle nous avons assisté.
La masse monétaire n’a cessé de diminuer depuis la fin de l’année dernière, et au cours du mois d’avril, elle s’est en fait contractée au rythme le plus rapide que nous ayons vu depuis la Grande Dépression…
En avril 2023, le ralentissement s’est encore accéléré, la croissance annuelle de la masse monétaire étant de -12,0 %. C’est en baisse par rapport au taux de -9,75% de mars et bien en deçà du taux d’avril 2022 de 6,6%. Avec une croissance négative qui plonge désormais à près ou en dessous de -10 % pour le deuxième mois consécutif, la contraction de la masse monétaire est la plus importante que nous ayons vue depuis la Grande Dépression. Avant mars et avril de cette année, à aucun autre moment depuis au moins soixante ans, la masse monétaire n’a chuté de plus de 6 % (en glissement annuel) au cours d’un mois.
Il est important de comprendre que l’économie ne réagit pas immédiatement à une variation de la masse monétaire.
Il y a un décalage.
En d’autres termes, il faut du temps pour que les effets filtrent à travers l’ensemble du système.
Mais nous commençons déjà à voir des signes très inquiétants. Comme je l’ai documenté ces dernières semaines, de grandes entreprises ont procédé à des licenciements massifs dans tout le pays. Il y a quelques jours à peine, Ford a ajouté son nom à la liste…
« Ford Motor Co. » prévoit de licencier un minimum de « plusieurs centaines » de salariés, dès la semaine prochaine, a appris le « Detroit Free Press ».
L’action sera limitée aux cols blancs d’Amérique du Nord, peut-être seulement aux États-Unis.
Et nous commençons à voir les demandes initiales d’allocations chômage augmenter. En fait, Zero Hedge rapporte que nous venons de voir le nombre le plus élevé en près de deux ans…
264 000 Américains ont demandé des allocations de chômage pour la première fois la semaine dernière – le nombre le plus élevé depuis octobre 2021…
La Californie, le New Jersey et le Connecticut ont connu la plus forte augmentation des premières demandes d’allocation chômage, car peut-être que les licenciements technologiques commencent à s’enregistrer (alors que les indemnités de départ se tarissent)…
Pendant ce temps, les prix des maisons aux États-Unis continuent de baisser alors que la bulle immobilière 2.0 continue d’imploser. Ce qui suit vient de « CNN »…
Les prix des maisons aux États-Unis ont chuté en mai au taux annuel le plus élevé depuis plus d’une décennie, selon un rapport de la « National Association of Realtors » publié jeudi.
Le prix médian des maisons existantes était de 396 100 $ le mois dernier, en baisse de 3,1 % par rapport à il y a un an, marquant la plus forte baisse de prix d’une année sur l’autre depuis décembre 2011.
Mais ne vous inquiétez pas.
Joe Biden dit que tout ira bien.
Vous le croyez, n’est-ce pas ?
La crise de l’immobilier commercial continue également de s’amplifier. Selon le « Daily Mail », les experts l’appellent « une bombe à retardement de la dette » qui a le potentiel de dévaster complètement notre système financier…
L’immobilier commercial est devenu une bombe à retardement de la dette, ont averti les experts, car les tours de bureaux restent vides dans des villes autrefois animées.
La nouvelle ère du travail à distance signifie que les espaces de travail « zombies » restent vacants, tandis que des taux d’intérêt plus élevés rendent plus coûteux l’achat ou le refinancement de bâtiments.
Bien sûr, l’économie globale se détériore régulièrement, et ce depuis un certain temps.
À ce stade, l’indice des indicateurs économiques avancés du « Conference Board » a chuté pendant 14 mois consécutifs.
Et ce ne sont pas seulement les États-Unis qui ralentissent. Selon « Yahoo News », l’économie chinoise est également en « perte de vitesse« …
La reprise axée sur la consommation en Chine montre de plus en plus de signes de perte de vitesse alors que les dépenses ralentissent dans tous les domaines, des voyages de vacances aux voitures et aux maisons, ce qui ajoute aux attentes d’une relance supplémentaire qui est censée soutenir l’économie.
Les dépenses de voyages intérieurs pendant les récentes vacances pour le festival des bateaux-dragons étaient inférieures aux niveaux d’avant la pandémie, selon les données officielles publiées ce week-end. Les chiffres des ventes de maisons sont inférieurs au niveau des années précédentes, tandis que les estimations des ventes de voitures en juin ont montré une baisse par rapport à il y a un an.
Alors qu’est-ce que tout cela signifie ?
Cela signifie que nous allons clairement dans la mauvaise direction.
Le peuple américain le comprend clairement, et c’est pourquoi les chiffres des sondages de Joe Biden sont si lamentables.
Mais nous devrions être reconnaissants pour une seule chose.
Les conditions économiques sont encore au moins relativement stables, mais la situation actuelle ne durera pas indéfiniment.
Des problèmes beaucoup plus importants se profilent à l’horizon.
Alors profitez de cette période assez troublée pendant que vous le pouvez encore, car il ne faudra pas longtemps avant que cette crise économique ne devienne beaucoup plus grave.
Source: theeconomiccollapseblog
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ça fait juste parti du plan, ils faut que les peuples degagent tout ces e….. par TOUT les moyens, et tout ira mieux