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vendredi 2 mai 2025 - 21:41

De l’inflation aux tambours de guerre… Les nations en faillite entraînent leur pays dans la guerre comme moyen de diversion politique pour obtenir un soutien aux douleurs inflationnistes imputées à un « méchant » étranger plutôt qu’à une véritable incompétence monétaire interne.

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Matthew Piepenburg, associé chez VON GREYERZ, rejoint Dunagun Kaiser de Liberty & Finance dans une autre discussion rafraîchissante et franche sur la détérioration des conditions financières, sociales et géopolitiques aux États-Unis et à l’étranger. Piepenburg place la récente et très attendue baisse des taux de la Fed dans une perspective sobre. Powell a effectivement admis sa défaite dans la prétendue « guerre contre l’inflation » de la Fed, en réduisant les taux bien avant d’atteindre l’objectif de 2 % de l’IPC de la Fed pour la simple raison que même l’Oncle Sam ne peut pas se permettre « des taux plus élevés plus longtemps ». Piepenburg parle d’une banque centrale piégée, expliquant que quelle que soit la direction que prend la Fed – taux plus élevés ou taux plus bas – le résultat final désormais évident est l’inflation et la dépréciation de la monnaie. Cette dure réalité fait des métaux précieux un actif indéniablement sobre dans un monde ivre d’une dépendance à la dette désormais ouverte et évidente. Piepenburg nous rappelle que des forces de récession temporaires ou même un retour potentiel à la moyenne du marché pourraient être temporairement désinflationnistes, mais qu’en fin de compte, tous les régimes en faillite n’auront d’autre choix que de déprécier davantage leur monnaie pour monétiser des paiements de dette/obligations autrement insoutenables. C’est un modèle aussi vieux que l’histoire elle-même. Un modèle tout aussi classique pour les nations en faillite consiste à entraîner leur pays dans la guerre comme moyen de diversion politique pour obtenir un soutien pour les douleurs inflationnistes imputées à un « méchant » étranger plutôt qu’à une véritable incompétence monétaire interne. À cette fin, les preuves d’une politique de la corde raide militaire croissante nous concernent tous, et Piepenburg s’efforce de replacer cette folie (le mal) dans son contexte.

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