ASSASSINAT JFK : CIA, MOSSAD ET LES SECRETS DÉCLASSIFIÉS
L’assassinat de John F. Kennedy a longtemps été l’objet de spéculations, mais les dossiers déclassifiés récemment ont jeté un éclairage nouveau sur cette tragédie. Une relation secrète entre la CIA et le Mossad a façonné la politique américaine dès les années 50, et ce partenariat occulte a joué un rôle déterminant dans l’élimination de JFK. James Angleton, chef du contre-espionnage de la CIA, contrôlait seul les échanges d’informations entre Washington et Tel-Aviv, filtrant tout ce qui aurait pu nuire à Israël. Cette alliance, construite dans l’ombre, a permis à Israël d’accéder à des informations sensibles et de mener des opérations clandestines en toute impunité. Cette dynamique cachée entre la CIA et le Mossad a façonné des événements cruciaux.
Kennedy face à l’influence israélienne : Un affrontement avec la CIA
Lorsque John F. Kennedy décide de s’opposer à l’influence grandissante d’Israël, il devient une menace. JFK refuse d’accepter la prolifération nucléaire israélienne et exige des inspections rigoureuses sur le réacteur de Dimona. Cet affrontement direct avec Ben Gourion, le Premier ministre israélien, mène à la démission de ce dernier, mais surtout, cela place Kennedy sur une trajectoire de confrontation avec la CIA, dominée par l’influence d’Angleton. La décision de Kennedy de remettre en cause la politique israélienne en fait une cible, et la CIA le voit désormais comme un obstacle. Les coulisses de cette confrontation se cachent derrière des alliances secrètes.
L’assassinat de JFK : Le basculement vers la soumission à Israël
L’assassinat de John F. Kennedy marque un tournant décisif dans l’histoire américaine. Son successeur, Lyndon B. Johnson, adopte immédiatement une position pro-israélienne, abandonnant toute pression sur Israël concernant son programme nucléaire. Le réacteur de Dimona, jadis un point de tension, devient désormais hors de propos. La politique israélienne progresse sans entrave, et l’influence de Tel-Aviv sur la politique américaine devient totale. Ce basculement indique clairement que l’assassinat de JFK n’était pas seulement un acte politique, mais une manœuvre pour garantir la domination israélienne sur les affaires américaines. Les documents déclassifiés révèlent des liens profonds entre ces événements.
Jack Ruby et l’ombre des réseaux sionistes
Jack Ruby, l’homme qui exécute Lee Harvey Oswald en direct à la télévision, est une figure clé dans cette histoire complexe. Son implication dépasse celle d’un simple criminel. Ruby, lié aux réseaux sionistes américains, avait des connexions directes avec l’Irgoun, une organisation paramilitaire israélienne. Son rôle dans l’élimination d’Oswald soulève des questions sur les forces cachées qui ont orchestré l’assassinat de JFK. Quant à Lyndon B. Johnson, son alignement total avec Israël après la mort de Kennedy renforce l’idée que ce dernier a été éliminé pour des raisons géopolitiques et stratégiques. Les secrets derrière ces connexions sont enfin révélés.
Les dossiers déclassifiés : une vérité étouffée depuis trop longtemps
Les archives déclassifiées récemment rendues publiques montrent des connexions troublantes entre la CIA, le Mossad et l’assassinat de John F. Kennedy. Les documents révèlent une alliance bien plus profonde entre ces deux services secrets, dont les intérêts communs ont décidé du destin de JFK. La question persiste : qui a réellement donné l’ordre final de tuer Kennedy ? Découvrez les vérités cachées qui bouleversent la version officielle.