Radiation des médecins résistants : Big Pharma impose sa loi en France
En pleine tourmente sanitaire et sociale, la France assiste à un phénomène alarmant : la radiation en série de médecins qui osent s’éloigner de la doxa officielle. Le professeur Trouillas, le docteur Pamart ou encore le docteur Loridan ne sont pas de simples cas isolés. Ils incarnent les premières victimes visibles d’un basculement profond, où l’indépendance médicale est méthodiquement éradiquée par un système sous l’influence directe de Big Pharma.
Se prémunir contre un tel autoritarisme sanitaire passe aussi par une résistance numérique.
Plus que jamais, une analyse hebdomadaire libre et indépendante devient indispensable pour comprendre les enjeux cachés.
Derrière la façade d’une médecine fondée sur la science et l’éthique, se profile en réalité une logique punitive. Le Conseil de l’Ordre, censé défendre les droits des patients et des praticiens, agit désormais comme une extension des lobbies pharmaceutiques. Il ne régule plus : il exécute. Toute voix dissidente est suspecte, tout traitement hors protocole est diabolisé.
Dans ce contexte de censure institutionnalisée, s’informer auprès de sources affranchies du système devient vital. Et pour éviter le piège d’une santé digitalisée et contrôlée, il est crucial de comprendre comment s’opposer aux outils de surveillance technologique.
Big Pharma n’a pas seulement conquis les agences sanitaires ou les circuits de prescription. Il a colonisé la pensée médicale elle-même. Les universités, les revues scientifiques et les formations professionnelles ne sont plus que les vecteurs d’un discours unique, excluant toute exploration thérapeutique en dehors des produits labellisés. La science n’est plus un processus vivant de questionnement, mais un outil marketing au service d’intérêts privés.
Face à cette uniformisation, protéger sa souveraineté médicale devient un enjeu de survie. C’est pourquoi l’accès à une information indépendante et décryptée est plus que jamais nécessaire.
Dans les coulisses, une médecine à deux vitesses se met en place. Tandis qu’une élite soigne ses proches avec des approches confidentielles, souvent issues de la médecine intégrative, le grand public est soumis à une médecine industrialisée, soumise aux algorithmes et aux plateformes numériques. C’est l’ère du soin sous contrôle : le patient devient un dossier, le médecin un automate.
Pour éviter cette dérive, il faut renouer avec une vision humaine et critique de la médecine. Et pour contrer les outils numériques liberticides, des solutions existent pour se prémunir contre les technologies de contrôle.
Aujourd’hui, le simple fait pour un soignant de proposer une alternative thérapeutique peut lui valoir une suspension ou une radiation. Ce n’est plus une question de compétences, mais de soumission. Le traitement de ces praticiens courageux démontre que nous avons quitté l’espace démocratique. C’est une purge. Et comme toute purge, elle vise à étouffer ce qui dérange : la liberté de penser, d’agir, de soigner autrement.
Dans ce climat, se défendre face aux structures centralisées devient une urgence, et recevoir une information libérée des influences est un acte de résistance.
Cette chasse aux sorcières dépasse le domaine médical. Elle interroge notre société dans son ensemble : avons-nous encore le droit de guérir autrement ? Qui décide de ce qui est bon pour nous ? Et surtout, quelles seront les prochaines professions ciblées par ce contrôle verticalisé ?
Pour préserver notre libre arbitre, il est temps de rejoindre ceux qui défendent une information libre, et de se préparer à résister aux dérives autoritaires.
