Pourquoi l’opposition politique en France échoue face à la crise systémique
En 2025, la France vit une fragmentation politique sans précédent. Alors que l’économie chancelle sous l’effet combiné de l’inflation, du contrôle social accru et de la défiance généralisée envers les institutions, l’opposition traditionnelle, incarnée par le Rassemblement National, semble incapable d’incarner un véritable contre-pouvoir. Marine Le Pen, dans sa stratégie de dédiabolisation, a renoncé à toute radicalité, se contentant d’un rôle de figurante dans un théâtre politique vidé de sa substance.
Pour se prémunir contre les dérives autoritaires du système financier numérique, certaines alternatives méritent d’être explorées.
Plus que jamais, il est essentiel de s’informer à travers une analyse hebdomadaire libre et indépendante.
Cette tendance se vérifie dans les récentes prises de position sur les ZFE, les restrictions de liberté ou encore la réforme numérique des moyens de paiement. Les formations politiques, y compris celles dites d’opposition, adoptent une posture de plus en plus conciliante avec les dispositifs imposés par les élites technocratiques. Le silence assourdissant sur les enjeux de souveraineté numérique, comme les Monnaies Numériques de Banque Centrale (MNBC), en est un symptôme flagrant.
Face à cette complicité silencieuse, la nécessité de recevoir une information non filtrée devient vitale.
Et quand l’alternative institutionnelle s’efface, il reste l’option de se prémunir contre les MNBC pour conserver une autonomie personnelle.
Il n’y a pas que MLP !
Il faut également prendre un compte un système électoral complètement verrouillé, une constitution à l’agonie et des mass médias qui ne font plus leur boulot de medias mais qui ne font que relayer la pensée unique (Front républicain …)
Le peuple déjà occupé à survivre et terrorisé n’a pas le supplément d’âme qu’onr eu par exemple des Italiens avec Meloni.
Et pourtant Meloni ce n’est pas non plus une farouche opposante au système, mais elle arrive quand même a dire « non » de temps à autre et dans « camicie nere » dans les rues.