En pleine tempête sociale, entre colères paysannes, défiance démocratique et grogne policière, Emmanuel Macron continue de tracer sa route solitaire, déconnectée des réalités. Son rapport au pouvoir semble échapper aux logiques politiques traditionnelles. Pour beaucoup d’analystes, il n’agit pas en chef d’État rationnel, mais en homme habité par une logique intime, presque obsessionnelle.
Dans ce climat instable, il devient crucial de chercher des solutions concrètes pour se protéger des dérives autoritaires et technocratiques,
tout en s’appuyant sur une analyse indépendante des forces à l’œuvre en coulisses.
Emmanuel Macron ne gouverne pas, il incarne. Il ne cherche pas l’adhésion, il exige la soumission. Son rapport au pouvoir n’est pas politique, il est psychologique – presque pathologique. Mégalomanie, obsession de reconnaissance, besoin de dominer sans partage : Macron dévoile une faille profonde, celle d’un homme qui confond autorité et amour, virilité et validation. Son mépris assumé pour les “Gaulois réfractaires” et “ceux qui ne sont rien” n’est pas un accident de langage, mais le symptôme d’une vision du monde déshumanisée.
Dans une société traversée par les incertitudes, comprendre ces dynamiques psychopolitiques devient indispensable.
Et pour qui veut garder le contrôle sur ses choix de vie, il est urgent d’anticiper les futurs outils de contrôle numérique.
Ce président hors norme ne s’inscrit pas dans la tradition républicaine : il s’en affranchit, s’en moque et la méprise. Il ne dialogue pas, il impose. Il ne doute pas, il agit selon une logique intérieure, où le fantasme de toute-puissance prend le pas sur toute rationalité. Cette posture autoritaire s’est particulièrement illustrée lors de la gestion du Covid, des Gilets Jaunes ou encore de la réforme des retraites, imposée au forceps malgré un rejet massif.
Dans un tel contexte, se prémunir contre l’extension d’un pouvoir centralisé est un impératif,
et suivre une lettre d’information libre permet de garder une longueur d’avance.
Cette obsession du contrôle et cette verticalité extrême s’enracinent dans une histoire personnelle peu banale. Macron, façonné par une relation affective transgressive dès l’adolescence, a bâti un rapport au monde centré sur la mise en scène de soi. Le pouvoir devient pour lui une scène de théâtre, le peuple un public qui doit applaudir ou se taire. Son autoritarisme n’est pas un style : c’est une nécessité intime.
Face à cette dynamique psychologique puissante, une lecture non-conformiste de l’actualité permet de mieux saisir les enjeux invisibles.
Et pour ceux qui cherchent à se protéger des dérives à venir, il existe des outils concrets pour reprendre sa souveraineté.
Mais derrière ce masque présidentiel se cache un mythe plus sombre… Un mythe qu’on va déconstruire, pièce par pièce. Michel Fize, Lara Stam, Nicolas Stoquer et Mike Borowski vous attendent nombreux sur Géopolitique Profonde pour explorer les facettes invisibles de ce pouvoir.
En ces temps de crise, résister à la numérisation forcée et à la surveillance globale est plus que jamais une nécessité,
tandis que l’information libre et stratégique devient une arme précieuse.