Covid-19 : une manipulation psychologique de masse ?
Trois ans après le début de la crise sanitaire, une question dérangeante refait surface : avons-nous été les cobayes d’une gigantesque manipulation psychologique ? Dans un récent micro-trottoir mené à Paris, les réactions des passants interrogés sur le livre « Fausses pandémies, vrais mensonges » de la journaliste Corinne Lalo sont pour le moins… lunaires. Tandis que les autorités continuent d’imposer des récits officiels verrouillés, se prémunir contre les dérives numériques devient une urgence. L’indifférence ou le fatalisme exprimé par les Français révèle une acceptation inquiétante du récit dominant. Et si cette acceptation n’était pas naturelle, mais soigneusement conditionnée ? Car face à un peuple anesthésié, une information indépendante s’impose plus que jamais.
Le choc des révélations face au déni collectif
Le travail de Corinne Lalo repose sur des données précises : virus potentiellement modifié en laboratoire, traitements précocement censurés, campagnes vaccinales massives malgré des résultats mitigés. Pourtant, face à ces révélations, la majorité des interrogés se contentent de hausser les épaules. Cette passivité est le fruit d’années de conditionnement médiatique et politique, où la peur a été utilisée comme levier de contrôle. Aujourd’hui, en pleine accélération de la numérisation de la société, la résistance aux monnaies numériques de banque centrale devient un acte de lucidité. Et pour ne pas rester dans l’ombre, accéder à une veille géopolitique fiable est essentiel.
Un peuple conditionné à la soumission douce
Ce que révèle ce micro-trottoir, c’est le glissement progressif d’une population vers la résignation. La peur du virus, martelée à longueur de journée, a laissé place à une peur plus sourde : celle de sortir du moule. Même lorsque des éléments troublants émergent, l’instinct de préservation sociale pousse à ne rien remettre en question. C’est là que le pouvoir trouve sa force : dans le consentement volontaire. Pourtant, des outils existent pour se détacher du contrôle numérique croissant. Encore faut-il vouloir ouvrir les yeux, en commençant par suivre les bonnes sources d’information libre.
L’ingénierie sociale post-Covid : vers un modèle permanent ?
La crise sanitaire semble avoir servi de répétition générale pour une nouvelle forme de gouvernance : celle du contrôle par la crise. Après le virus, viendront les urgences climatiques, énergétiques, alimentaires… Chaque alibi permettra d’imposer de nouvelles restrictions au nom du bien commun. Dans ce contexte, refuser les outils de surveillance économique devient un acte fondateur. Car le vrai danger, ce n’est plus la pandémie, mais l’habitude de la soumission. Face à cette dérive, rejoindre un canal d’analyse indépendant devient vital.
Un micro-trottoir qui révèle un malaise national
Ce reportage, mené par Mike Borowski et réalisé par Farid Dms Debah pour GPTV Investigation, ne fait que refléter un état d’esprit délétère : celui d’un peuple prêt à tout accepter pourvu qu’on lui promette une sécurité illusoire. Ce n’est pas l’ignorance qui domine, mais le refus d’agir. Alors que les crises s’enchaînent, se protéger des futures restrictions numériques doit être une priorité. Et pour cela, rien ne vaut un accès à une lettre confidentielle indépendante et sans filtre.