La crise du Covid a opéré comme un révélateur brutal : une majorité silencieuse, docile, semble prête à revivre les mêmes restrictions sans poser de questions. Ce comportement, observé récemment lors d’interviews de rue à Paris, illustre une soumission presque automatique à toute injonction étatique. Ce constat s’inscrit dans une tendance plus large, celle d’un effacement progressif du sens critique.
Dans ce contexte préoccupant, il devient urgent de se prémunir contre les MNBC, véritables leviers de contrôle numérique des populations.
Pour ceux qui souhaitent rester informés en toute indépendance, une analyse hebdomadaire libre et indépendante devient indispensable.
Pourquoi cette obéissance si viscérale à l’autorité ? L’école, les médias et les « experts » façonnent un citoyen modèle : passif, respectueux des règles, même les plus absurdes. La peur, savamment entretenue, éteint toute rébellion. Cette ingénierie sociale, loin d’être théorique, s’incarne dans les mécanismes de plus en plus visibles de surveillance et d’encadrement de la pensée.
Dans ce climat anxiogène, il est vital de connaître les vérités que les médias officiels taisent.
Ceux qui veulent agir dès maintenant peuvent aussi résister au contrôle numérique global.
Le modèle qui s’est imposé depuis 2020 n’est plus une exception, mais une norme. Sous couvert de crise sanitaire, l’État a pris la main sur des pans entiers de la vie quotidienne : déplacement, travail, consommation, relations sociales. Toute opposition devient suspecte, tout esprit critique diabolisé. Et si, finalement, le vrai virus n’était pas biologique mais idéologique ?
Pour ceux qui refusent ce nouvel ordre silencieux, refuser les monnaies numériques centralisées constitue un acte de résistance.
Rester libre commence par accéder à des sources d’information affranchies du système.
Ce phénomène global s’inscrit dans une logique qui dépasse la France. Des millions de citoyens, partout dans le monde, ont vu leur liberté réduite au nom d’un discours pseudo-scientifique. Le pouvoir a compris qu’avec la peur, on peut tout imposer. Pourtant, quelques voix s’élèvent, analysent, dénoncent et brisent le silence.
L’avenir appartient à ceux qui refusent la fatalité. S’abonner à une lettre d’analyse indépendante devient un acte militant.
Et pour sortir du piège numérique, dire non aux MNBC dès maintenant est une priorité.
Ce n’est plus seulement une question de santé publique, mais une démonstration de pouvoir. La peur du virus a permis d’instaurer une gouvernance par la contrainte, maquillée en gestion sanitaire. Ce modèle s’impose désormais comme la norme, et toute contestation devient suspecte. Pourtant, une minorité lucide continue d’analyser, de dénoncer et de briser le consensus. Cette émission est leur voix.
Et si le vrai vrus, ce n’était pas le c0vd, mais la soumission volontaire ? Mike Borowski décrypte l’échec de la révolte française face au contrôle global, en direct sur GPTV.