L’essor fulgurant de l’intelligence artificielle, boostée par les derniers modèles génératifs et les algorithmes prédictifs, fascine autant qu’il inquiète. Derrière l’innovation se cache une réalité bien plus sombre : celle d’un glissement insidieux vers une société de surveillance permanente, orchestrée par une technocratie globalisée. La récente prolifération des lois sur les identités numériques et les paiements centralisés montre que se prémunir contre les MNBC devient une urgence. Dans ce contexte, une analyse hebdomadaire libre et indépendante s’impose comme un outil indispensable pour garder un pas d’avance.
Les récentes expérimentations en Chine avec le crédit social, mais aussi en Europe via l’identification biométrique automatisée, démontrent que la pandémie n’était qu’un prétexte pour tester des technologies de surveillance massive. Aujourd’hui, chaque citoyen devient un sujet d’analyse, chaque comportement une donnée à exploiter. Dans un tel climat, s’informer en dehors des circuits officiels devient un acte de résistance. Tandis que rejeter les monnaies numériques de banque centrale apparaît comme une solution tangible pour conserver sa souveraineté.
Dans cette ère numérique, l’illusion de confort et de sécurité masque une réalité glaçante : l’humain est progressivement remplacé par la machine. L’actualité récente sur le développement d’IA capables de recréer des voix, de générer des visages ou même d’écrire des lois en temps réel pousse à s’interroger. Quel avenir pour notre libre arbitre ? Agir dès maintenant contre l’asservissement numérique est une option à ne pas négliger, surtout lorsque des voix libres vous éclairent chaque semaine.
L’urgence est là. La technologie avance à grande vitesse, bien plus rapidement que les garde-fous démocratiques. Les États, sous influence d’instances supranationales, accélèrent l’intégration de ces outils sans consulter les citoyens. Pour certains experts, nous vivons déjà les premières étapes d’un régime algorithmique où l’humain n’est qu’un flux à réguler. C’est dans cette logique que un accès à l’information indépendante et un rejet des outils de contrôle financier centralisé deviennent vitaux.
IA : L’OUTIL DE DOMINATION TOTALITAIRE EST DÉJÀ LÀ | FRANÇOIS DUBOIS.
Derrière le vernis étincelant des innovations en intelligence artificielle et en robotique, une vérité bien plus sombre émerge : l’État profond façonne une ère de contrôle numérique total. Sous couvert de progrès, il prépare une gouvernance technocratique implacable, où chaque mouvement, chaque pensée, est surveillée et analysée pour mieux soumettre. La généralisation des objets connectés, la reconnaissance faciale et l’intelligence prédictive tracent les contours d’une prison numérique invisible mais étouffante.
La pandémie mondiale n’a été qu’une répétition générale pour tester ces outils à grande échelle. L’intelligence artificielle devient le cœur d’un nouveau totalitarisme algorithmique, où l’humain est peu à peu relégué à l’arrière-plan au profit de machines dociles et de robots obéissants. Le fantasme transhumaniste n’est pas une utopie : c’est une méthode pour rendre l’humanité obsolète.
Chaque appareil connecté devient une chaîne supplémentaire dans cette vaste prison dorée. Ce qui est en jeu, ce n’est pas seulement notre liberté, mais l’essence même de ce qui fait de nous des êtres humains.
L’effacement programmé de l’humanité au profit des machines est-il déjà irréversible ?
Réponses en direct avec François Dubois, Patrick Pasin, Christian Cotten et Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.
