Le PDG de Toyota France le dit sans détour : la France pourrait redevenir un paradis industriel, si elle fixait ses prix d’électricité sur ses coûts de production, comme avant. Mais Bruxelles impose un marché où on paie plus cher que ce qu’on produit, tuant notre compétitivité. Résultat ? Des usines ferment, des emplois disparaissent, et l’Allemagne, elle, négocie ses tarifs. Jusqu’à quand allons-nous nous tirer une balle dans le pied ?