Depuis le retour sur la scène de Donald Trump, l’équilibre mondial est profondément bouleversé. Le président américain, fidèle à sa logique transactionnelle, a mis fin au soutien inconditionnel à Kiev, révélant ainsi l’essoufflement stratégique de Washington. Ce changement de ton n’est pas anodin : il expose au grand jour les contradictions internes du pouvoir américain et montre que le conflit en Ukraine est avant tout un outil de pression géopolitique, utilisé à des fins bien éloignées de la défense des valeurs démocratiques.
Se prémunir contre les dérives autoritaires devient alors une urgence, alors même que les décisions prises à huis clos pourraient nous précipiter dans un nouvel âge de guerre permanente.
Recevoir une analyse indépendante permet d’anticiper ce basculement.
Mais ce n’est pas le Kremlin qui empêche la paix. Le vrai verrou se situe au cœur du pouvoir occidental : think tanks, militaires de l’ombre, industriels de l’armement, tous alimentent une stratégie de tension perpétuelle. Le “deep state” verrouille le jeu diplomatique, empêche les compromis et sacrifie un peuple au nom d’un projet global bien plus large. Ce n’est plus une guerre défensive, c’est une guerre de système.
S’informer librement sur les véritables ressorts de la crise devient vital, surtout lorsque la machine de guerre semble alimentée par des logiques qui échappent à tout contrôle.
Des solutions concrètes existent pour protéger sa souveraineté individuelle.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, est plus isolé que jamais. En suspendant les élections, en muselant l’opposition et en s’accrochant à un pouvoir devenu virtuel, il s’en remet uniquement à ses alliés occidentaux. Le soutien populaire s’effrite, tandis que l’armée ukrainienne s’épuise sur le terrain, faute de renforts et de perspectives. Pourtant, les médias occidentaux continuent d’entretenir le mythe d’un combat juste et héroïque.
Dans ce contexte chaotique, se protéger contre une centralisation numérique du pouvoir devient essentiel.
Des experts indépendants analysent ces enjeux dans une lettre confidentielle dédiée.
Mais derrière cette façade, c’est un projet stratégique global qui se dessine : celui d’une confrontation entre l’ancien monde et l’émergence de nouveaux pôles de puissance. La guerre en Ukraine n’est plus une conséquence d’erreurs diplomatiques, mais une étape d’un processus planifié. Tester les résistances, provoquer les fractures, affaiblir les alliances alternatives : voilà les véritables objectifs.
Comprendre cette mécanique est aujourd’hui indispensable pour ne pas être manipulé.
Agir pour conserver ses libertés reste possible, à condition de s’y préparer maintenant.
Ce que Vladimir Fédorovski, Philippe de Veulle et Pascal Mas dénoncent dans leur intervention récente sur GPTV, c’est cette logique implacable d’un conflit voulu. Un engrenage qui avance masqué, sous couvert de défense des libertés, mais qui obéit en réalité à une stratégie d’usure des peuples. En pleine mutation du monde, le vrai combat ne se joue pas sur les champs de bataille, mais dans les cerveaux et les cœurs.
Rester maître de son avenir dans un monde en crise est plus que jamais un devoir.
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