Alors que l’issue du conflit en Ukraine semble de plus en plus compromise pour Kiev, l’Union européenne adopte un ton plus agressif. Selon Alex Krainer, les élites au pouvoir s’enfoncent dans une logique désespérée. Leur dernière carte ? Une opération sous un faux prétexte, destinée à rallier l’opinion et déclencher un nouvel élan guerrier. Dans ce climat tendu, l’achat d’or physique apparaît comme une protection cruciale.
Les signaux d’alerte se multiplient. Discours belliqueux, militarisation croissante, et désormais la menace d’un service militaire obligatoire pour les jeunes Européens. Cette stratégie de la peur, dénoncée par Krainer, pourrait bien aboutir à une escalade dramatique. Or, en temps de guerre, les devises vacillent. Investir dans l’or reste l’un des moyens les plus sûrs de préserver son capital.
En parallèle, la liberté d’expression recule. De nouvelles lois européennes cherchent à museler les voix dissidentes. Le débat public devient un champ de mines. Pour Krainer, cela montre à quel point les élites craignent le réveil des peuples. Lorsqu’un système tente de tout verrouiller, mieux vaut protéger ses actifs. D’où l’intérêt croissant pour l’or, valeur refuge intemporelle.
Autre point essentiel abordé : la montée en puissance d’un supercycle des matières premières. Selon Krainer, cette phase haussière pourrait durer une décennie. L’or et l’argent en profiteront pleinement. Tandis que les marchés boursiers se fragilisent, les métaux précieux retrouvent leur rôle historique. Pour les investisseurs avisés, détenir de l’or permet d’anticiper les turbulences économiques.
Enfin, Krainer évoque un possible reset monétaire mondial. Les banques centrales accumulent discrètement de l’or. Les BRICS créent de nouvelles alliances. Le dollar perd en influence. Dans un tel contexte, conserver des actifs en monnaie papier devient risqué. C’est pourquoi l’or est redevenu une assurance vitale pour préserver son patrimoine.
