10.2 C
Paris
jeudi 15 mai 2025 - 07:05

NÉGOCIATIONS À ISTANBUL : POUTINE VOUDRA-T-IL ARRÊTER LA GUERRE EN UKRAINE ?

A LA UNE

Ce que nos dirigeants vous cachent : découvrez-le en Cliquant ci-dessous ! 🔥

LES DERNIÈRES VIDÉOS

Vers la fin du conflit ukrainien : Istanbul, le tournant décisif ?

Alors que les tensions en Europe atteignent leur paroxysme, Istanbul s’impose comme un possible théâtre de paix. Zelensky y arrive avec l’espoir de sauver l’Ukraine d’un effondrement total. Pourtant, Moscou, silencieuse, semble ne plus ressentir le besoin de négocier. Après des mois de guerre asymétrique, la Russie domine le terrain militaire et stratégique. Cette position de force redéfinit les termes du dialogue : ce n’est plus un compromis qui est recherché, mais une capitulation en douceur.

Dans ce contexte de déséquilibre, certains analystes estiment qu’il est urgent pour les citoyens de reprendre le contrôle sur leur avenir économique, notamment en comprenant les implications des monnaies numériques de banque centrale, ou en consultant des sources d’information indépendantes à l’abri des récits dominants.

L’Ukraine affaiblie, l’Occident dépassé

L’Ukraine, qui cristallisait encore en 2022 l’élan médiatique et diplomatique de l’Occident, se retrouve aujourd’hui isolée et exsangue. Les promesses d’aides illimitées cèdent la place à une réalité géopolitique implacable : l’Occident n’a ni les moyens militaires, ni la volonté politique de poursuivre une guerre qu’il ne peut gagner. Les opinions publiques européennes, de plus en plus sceptiques, comprennent qu’on leur a imposé une guerre par procuration au nom de la démocratie.

Et pendant que les gouvernements puisent dans les poches des contribuables pour financer cette impasse, des outils de protection individuelle contre les dérives technocratiques deviennent essentiels. Pour aller plus loin, cette lettre confidentielle révèle les vérités que les médias institutionnels taisent.

Militarisation de l’économie : l’arme invisible

Ce conflit n’est plus uniquement militaire. Il restructure en profondeur les économies et les sociétés européennes. Derrière les beaux discours sur la défense des valeurs démocratiques, se cachent des projets de militarisation accélérée, de détournement de l’épargne privée et de transformation des citoyens en rouages d’une machine de guerre technocratique. L’Ukraine devient un prétexte pour imposer des mesures autoritaires sur l’ensemble du continent.

À ce titre, comprendre les risques de la centralisation financière via les monnaies numériques devient vital. Ce dossier complet sur les CBDC aide à anticiper les prochaines étapes. Pour une lecture stratégique à long terme, la lettre confidentielle de Géopolitique Profonde est une référence incontournable.

L’ordre mondial en bascule

Ce que la Russie impose aujourd’hui à Kiev, c’est un basculement de l’ordre géopolitique européen. Chaque victoire tactique de l’armée russe n’est pas seulement un revers pour l’Ukraine, mais une fissure dans l’unité occidentale. L’Union européenne, impuissante à coordonner une réponse cohérente, se contente de discours creux. Et les États-Unis, dans leur stratégie extractive, sortent renforcés tandis que l’Europe s’enlise dans l’illusion d’une guerre « juste ».

Dans cette mutation historique, il est plus que jamais nécessaire de comprendre les instruments du pouvoir global, comme le système financier numérisé. Un guide citoyen contre les CBDC peut être un premier rempart. L’accès à une information hors des clous, comme celle proposée par Géopolitique Profonde, devient une nécessité pour ne pas subir.

Istanbul : paix ou capitulation ?

NÉGOCIATIONS À ISTANBUL : POUTINE VOUDRA-T-IL ARRÊTER LA GUERRE EN UKRAINE ?
Dans un moment décisif pour l’avenir de l’Europe, Zelensky se rend à Istanbul avec un seul objectif : arracher un cessez-le-feu à une Russie qui gagne la guerre. Mais le silence du Kremlin, lourd de sens, laisse entrevoir une autre vérité. Moscou n’a plus besoin de négocier. L’Ukraine, affaiblie, isolée, est au bord de la rupture. L’Occident, lui, ne sait plus comment sauver la façade de son engagement militaire, alors que le terrain impose une réalité implacable : la guerre est perdue.

L’Europe s’enlise dans une posture guerrière qu’elle ne peut plus assumer. Derrière les discours sur la solidarité et la démocratie, l’objectif réel devient de plus en plus clair : justifier l’impensable, détourner l’épargne, armer une population qui n’a jamais été consultée. La guerre en Ukraine n’est plus un conflit extérieur, c’est devenu un prétexte pour transformer les sociétés européennes en économies militarisées sous contrôle technocratique.

Pendant que les États-Unis récoltent les fruits de leur stratégie minérale en Ukraine, l’Union européenne s’accroche à un narratif agonisant. Une paix imposée par la Russie ne serait pas une victoire diplomatique, mais l’aveu d’un échec stratégique majeur. Chaque avancée russe fracture un peu plus l’unité factice des chancelleries occidentales. Ce n’est plus l’avenir de l’Ukraine qui se joue, mais celui de l’ordre géopolitique européen.

Et si Istanbul devenait le théâtre de l’enterrement d’un monde que l’Occident refuse de laisser mourir ?

Oskar Freysinger et Xavier Moreau le dévoilent sans filtre avec Raphaël Besliu, en direct dans La Matinale de GPTV !
Sylvain Ferreira et Claude Janvier seront également présents pour rendre hommage au général Dominique Delawarde, qui nous a quittés le 11 mai dernier.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici


LES PLUS POPULAIRES 🔥