L’absence de Vladimir Poutine à Istanbul n’est pas une fuite, mais une démonstration de puissance. En choisissant de ne pas se déplacer, le Kremlin impose un cadre intransigeant : pas de discussions sans reconnaissance préalable des acquis russes. Pendant que l’Occident croit encore à un cessez-le-feu négocié, Moscou orchestre une stratégie à froid, méthodique et résolue. L’objectif est clair : reprendre la main sans paraître la tendre.
Cette démonstration de force n’est pas anodine. Elle s’inscrit dans une logique de recomposition de l’ordre mondial, que certains analystes décryptent avec lucidité ici. Et face à ces basculements géopolitiques, comprendre les dangers d’un contrôle total via les monnaies numériques devient impératif – ce rapport vous met en garde.
Zelensky isolé, l’Ukraine en perte d’équilibre
Face à cette mécanique bien huilée, Volodymyr Zelensky multiplie les gestes désordonnés. Présent à Istanbul, il tente de sauver la face, mais son isolement devient criant. Les réponses russes sont cinglantes, dépeignant un président ukrainien dépassé par les événements. La guerre d’image se double d’un naufrage diplomatique. Sans soutien fort, avec une scène intérieure qui s’effrite, l’Ukraine semble jouer la montre plus qu’une issue.
Pendant que l’Ukraine s’enfonce dans l’incertitude, des citoyens s’organisent. La lettre confidentielle de Géopolitique Profonde dévoile les dessous d’une instabilité géopolitique qui dépasse le théâtre ukrainien. Et dans ce climat de contrôle renforcé, des solutions pour s’émanciper du piège des CBDC sont aujourd’hui essentielles.
Trump en embuscade, l’Occident dans l’expectative
Pendant ce temps, l’ombre de Donald Trump plane. L’ancien président américain pose ses conditions et attend son heure. Il ne croit pas aux discussions sans lui. Pour lui, tout cela n’est que théâtre tant qu’un tête-à-tête avec Poutine n’a pas eu lieu. Et dans les chancelleries européennes, l’exaspération monte. Le soutien à Zelensky se transforme peu à peu en gêne. L’unité occidentale ne se fissure pas, elle se reconstruit… sans lui.
Ces signaux faibles annoncent une recomposition des équilibres, que des observateurs de terrain suivent de près. Dans ce nouveau monde, la souveraineté passe aussi par le rejet de systèmes numériques imposés par le haut – voici pourquoi il faut se protéger maintenant.
Qui gouverne vraiment ? Une question centrale
Mais si Poutine n’a pas besoin d’être là pour décider, et que Trump attend encore de parler, qui est vraiment aux commandes ?
Marc-Gabriel Draghi, Terence d’Araucanie, Alexis Poulain, François Martin et Raphaël Besliu vous attendent nombreux en direct devant La Matinale, sur Géopolitique Profonde.
Et que dire de ceux qui sont tenus en échec depuis 3 ans par un clown raté