Ils osent tout. Après les carburants, les logements, les successions… voilà maintenant une « contribution » sur les livres d’occasion. L’argent ? Il ne va pas aux auteurs, mais dans une caisse floue, censée « soutenir la création ». Traduction : on taxe les lecteurs pour financer le clientélisme culturel. Bienvenue dans la fiscalité absurde version 2025.