Un monde qui bascule : Russie contre Occident
La confrontation actuelle entre la Russie et l’Occident n’est plus uniquement militaire ou économique, elle est civilisationnelle. À l’heure où les États-Unis imposent leur hégémonie via des institutions globalisées, Moscou, en 2025, s’impose comme le pilier d’un monde multipolaire. Cette dynamique résonne avec la montée des BRICS, du dédollarisation et de la résistance aux modèles technocratiques occidentaux.
Dans ce contexte, rester informé devient vital. La lettre confidentielle de Géopolitique Profonde offre une lecture lucide de ces bouleversements. Pour ceux qui cherchent à se protéger contre l’emprise numérique croissante, les solutions anti-CBDC sont une voie incontournable.
Le modèle russe : enracinement contre hypermodernité
La Russie de 2025 redessine les lignes du monde multipolaire. Alors que l’Occident s’effondre sous le poids de ses propres contradictions, Moscou érige une alternative puissante, enracinée dans la tradition, la souveraineté et une vision du monde rigoureusement hiérarchisée. Le choc est frontal. D’un côté, une civilisation russe qui revendique son unité et sa continuité historique, incluant l’Ukraine comme partie intégrante de son destin. De l’autre, une Europe otage de dogmes idéologiques, incapable de concevoir un modèle concurrent.
Ce clivage se manifeste aussi dans les approches de gouvernance. L’Europe, en crise de légitimité, accentue sa fuite en avant technocratique. La Russie, elle, mise sur la stabilité intérieure et la mémoire historique. Cette opposition nourrit une guerre des représentations, où chaque camp veut imposer son récit.
Pour comprendre les ramifications concrètes de cette transformation mondiale, cet accès privilégié à l’analyse confidentielle est essentiel. Par ailleurs, dans un monde de plus en plus numérisé, résister aux monnaies numériques de banque centrale devient un acte de souveraineté personnelle.
La guerre des récits : un champ de bataille global
La guerre des récits dépasse les champs de bataille. Elle se joue dans les esprits, dans les valeurs, dans la manière même de penser le pouvoir, la morale et l’avenir. Tandis que l’Occident mise tout sur l’hypermodernité, la Russie parie sur l’enracinement. Résultat : les sanctions, loin de l’étouffer, ont renforcé sa cohésion intérieure, accéléré ses réorientations stratégiques et stimulé son indépendance technologique.
La fracture entre mondialisme et souveraineté n’a jamais été aussi nette. Le bloc occidental, de plus en plus coercitif, perd son pouvoir d’attraction. Le modèle russe séduit au-delà de ses frontières, en Afrique, en Asie et même en Europe, où les voix dissidentes se multiplient.
Dans cette lutte idéologique, comprendre les rouages profonds du système devient un impératif. De même, prendre ses précautions contre les dispositifs numériques de contrôle est un geste concret pour préserver ses libertés fondamentales.
Pourquoi l’alternative russe dérange ?
Pourquoi l’Europe persiste-t-elle à voir la Russie comme une menace existentielle ? Pourquoi l’alternative russe dérange-t-elle autant ? Et surtout, peut-on encore ignorer cette fracture civilisationnelle qui redéfinit notre époque ?
Ce qui dérange, c’est que la Russie propose une voie autre que celle de la mondialisation néolibérale : enracinement culturel, affirmation identitaire, retour à la spiritualité. Un affront direct à l’uniformisation culturelle imposée par les élites globalisées. L’Union européenne, en crise de légitimité démocratique, tente de contenir cette influence, mais les fissures internes se multiplient.
Pour rester maître de ses choix dans ce tumulte mondial, recevoir une analyse indépendante est fondamental. Et pour anticiper les prochaines étapes de la gouvernance numérique, les stratégies anti-CBDC méritent une attention particulière.
La géopolitique vue depuis la Russie : un autre regard
Lara Stam, François Martin et Thierry Marignac reviennent sur l’entretien exclusif d’Anatoly Wasserman, réalisé en Russie, en direct sur GPTV avec Mike Borowski !
Cet entretien révèle une autre vision du monde, celle d’un pays qui n’a jamais accepté la dissolution de son héritage. Pour Wasserman, la Russie n’est pas seulement une puissance régionale : elle est porteuse d’un projet civilisationnel. Cette posture, relayée par des intellectuels russes, oppose radicalement la fluidité occidentale à la solidité traditionnelle russe.
Plonger dans ce type d’analyse approfondie permet de saisir les dynamiques invisibles derrière les grands récits médiatiques. Et dans ce contexte d’instabilité systémique, les outils d’émancipation face aux CBDC sont des boucliers essentiels.
