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lundi 2 juin 2025 - 03:07

EUTHANASIE : LOI MAÇONNIQUE ET SATANIQUE !

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La loi sur l’euthanasie : un tournant sociétal aux ramifications inquiétantes

En mai 2025, l’Assemblée nationale a adopté une loi autorisant l’aide active à mourir en France. Présentée comme une avancée majeure en matière de liberté individuelle et de dignité humaine, cette loi marque un tournant irréversible. Pourtant, sous le vernis de l’humanisme, plusieurs voix s’élèvent pour dénoncer une dérive éthique, portée par des réseaux d’influence discrets mais puissants.

Ce glissement législatif n’est pas une surprise. Depuis plus de quarante ans, les loges maçonniques influencent discrètement les débats bioéthiques en France. Emmanuel Macron, en se rendant récemment à la Grande Loge de France, a symbolisé l’alignement idéologique d’un pouvoir politique sur une vision où la vie devient une variable, et non plus un principe inviolable.

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Une logique de mort programmée sous couvert de liberté

La loi, censée protéger les plus fragiles, installe paradoxalement une pression diffuse sur eux. Les critères flous, le consentement sous influence et la redéfinition du rôle du médecin transforment peu à peu une option en injonction silencieuse. L’État, au nom de la compassion, délègue le pouvoir de donner la mort.

Ce changement de paradigme est d’autant plus grave qu’il est présenté comme une évidence. La société est lentement conditionnée à accepter ce glissement moral. Comme le révèle Mike Borowski dans son enquête sur GPTV, nous ne sommes pas face à une loi du peuple, mais à un projet d’ingénierie sociale où les commanditaires restent invisibles.

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Une fracture démocratique et spirituelle profonde

La loi sur l’euthanasie ne découle pas d’un consensus populaire, mais d’une stratégie d’imprégnation lente des consciences. En évacuant tout débat spirituel et philosophique profond, le politique s’arroge le droit de vie et de mort sur l’individu. Cette dérive s’inscrit dans une logique plus large de dissolution des repères anthropologiques.

À l’heure où les crises systémiques s’enchaînent — inflation, instabilité sociale, dérives transhumanistes —, cette loi parachève un projet global de déshumanisation. Ce que certains appellent progrès est peut-être la mise en place d’un contrôle absolu sur l’être humain, du début à la fin de sa vie.

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Une loi d’allégeance, pas de liberté ?

Et si cette loi n’était pas un progrès mais une soumission ? Une soumission à une autorité occulte, étrangère aux fondements démocratiques ? L’actuelle majorité politique, loin de consulter réellement le peuple, s’appuie sur des forces qui dictent l’agenda bioéthique dans l’ombre. Loin d’être un choix souverain, cette législation s’apparente à un acte d’allégeance.

Le voile se lève peu à peu, notamment grâce à des médias indépendants qui exposent les manipulations derrière cette mise en scène de la modernité. Il est encore temps d’ouvrir les yeux et de reprendre le contrôle de notre avenir collectif.

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