Big Pharma face à un chercheur libre : le cas Fourtillan
Le combat entre la recherche indépendante et les intérêts pharmaceutiques n’a jamais été aussi évident qu’avec l’affaire du Professeur Jean-Bernard Fourtillan. Spécialiste reconnu en pharmacologie, il n’a pas été discrédité pour ses erreurs, mais pour ses découvertes révolutionnaires, notamment autour de la valentonine. Ce cas reflète une tendance de fond : toute alternative naturelle est systématiquement étouffée si elle menace les grands monopoles.
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Une alternative médicale trop menaçante pour être tolérée
Les travaux de Fourtillan portaient sur une molécule non brevetée, naturelle, et potentiellement capable de remplacer de nombreux traitements chroniques. Une révolution thérapeutique, donc un danger pour un système économique fondé sur la dépendance aux médicaments. Loin de susciter débat et validation scientifique, son approche a été réprimée par des moyens extrajudiciaires.
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L’étiquette de “complotiste” : une arme de disqualification
L’histoire du Professeur Fourtillan illustre un mécanisme de contrôle bien huilé : en collant une étiquette de “complotiste”, le système évite le débat et neutralise les voix dissidentes. Cela permet d’éviter toute réflexion sur les alternatives possibles à la médecine commerciale, et de préserver les intérêts financiers de l’industrie.
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Une guerre invisible : science contre profits
Ce que révèle cette affaire, c’est que la médecine moderne n’est pas toujours au service de la santé, mais parfois au service d’intérêts privés. L’internement arbitraire du professeur montre que tout chercheur remettant en cause le dogme dominant est traité comme un ennemi public. L’objectif : tuer dans l’œuf toute possibilité de traitement autonome, gratuit, et efficace.
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