PANIQUE CHEZ LES PROPAGANDISTES ! LA RUSSIE VA RÉPONDRE DE MANIÈRE “DISPROPORTIONNÉE” !

Panique chez les propagandistes : la Russie va répondre de manière “disproportionnée”

Alors que la tension monte d’un cran entre Moscou et les puissances occidentales, un terme précis s’insinue dans le discours diplomatique : « réponse disproportionnée ». Ce choix lexical n’a rien d’anodin. Il s’agit d’un outil stratégique, utilisé pour verrouiller l’opinion publique avant même que les faits ne se produisent. En accusant la Russie de futurs excès, les États-Unis façonnent un narratif préventif destiné à neutraliser toute légitimité russe.

Dans ce contexte d’escalade narrative, certaines analyses indépendantes proposent des clés pour sortir de la manipulation médiatique : lisez cette lettre confidentielle.
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La France en première ligne : un pion exposé sur l’échiquier

Paris n’est plus spectatrice : en envisageant l’envoi de troupes en Ukraine, la France devient un acteur frontal de la provocation occidentale. La mise en garde contre une riposte russe brutale n’a rien de protecteur : elle prélégitime la frappe tout en plaçant la France dans une posture d’exposition maximale. Ce discours de dissuasion est aussi un piège rhétorique, dans lequel la France s’enferme à mesure qu’elle cède aux injonctions de l’OTAN.

Comprendre les motivations réelles de cette stratégie est vital : analyse confidentielle ici.
Pour ceux qui veulent protéger leur souveraineté financière dans un contexte incertain : voir les alternatives concrètes.

Le mot “disproportionné” : un piège narratif calibré

En réalité, ce mot n’est plus une appréciation morale, mais un outil de domination discursive. Quelle que soit la réponse de Moscou – même justifiée ou symétrique – elle sera qualifiée d’excessive. Le piège est ainsi refermé : l’agresseur est désigné avant même d’agir. L’Occident, surtout sous impulsion américaine, place ses alliés dans une logique d’adhésion automatique, coupant court à toute analyse rationnelle ou souverainiste.

Ce formatage de la pensée est largement décrypté par des experts : lettre confidentielle ici.
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Les Français : instrumentalisés, exposés, sacrifiables ?

Il est temps d’ouvrir les yeux. La France n’agit plus en nation souveraine, mais en pièce secondaire d’un échiquier global, dont elle ne maîtrise ni le tempo ni les règles. Poussée à l’avant-scène, elle pourrait bien payer le prix fort d’une stratégie étrangère. L’indignation médiatique devient alors une simple opération cosmétique, masquant un cynisme profond.

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Conclusion : L’heure n’est plus à l’aveuglement

Si la Russie frappe demain – et si la France en fait les frais – ce ne sera pas un hasard. Ce sera la conséquence directe d’un scénario pré-écrit par d’autres. Ceux qui dénoncent aujourd’hui des excès n’ont fait que les provoquer en amont. Le citoyen français doit comprendre qu’il est temps de reprendre le contrôle de sa compréhension du monde.

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