Depuis quelques années, les élites mondialistes ne se cachent plus. Entre propagande woke, diktats sanitaires et projets de surveillance de masse, tout y est passé. Mais en 2025, un constat étonne : les figures du Nouvel Ordre Mondial sont devenues discrètes, presque absentes. Pourquoi ce silence soudain après des années de surmédiatisation ? Ont-ils perdu la guerre ou préparent-ils autre chose ?
Du « Great Reset » à la régression silencieuse
De 2019 à 2022, tout s’est accéléré : pandémie, confinements à répétition, passe sanitaire, suppression des libertés fondamentales… Les ONG et institutions comme le Forum Économique Mondial ont surfé sur la peur pour imposer un agenda : fin du cash, transition forcée vers une économie verte sous contrôle, et rêve d’un monde totalement centralisé. Mais aujourd’hui, ce programme semble à l’arrêt. Le « Great Reset » ? Officiellement mort. Larry Fink de BlackRock parle même de « fin de la mondialisation ». Trop gros, trop vite. L’opinion publique s’est réveillée, et les résistances se sont multipliées.
Les reculs visibles : un répit ou une ruse ?
Aux États-Unis, les restrictions sanitaires sont enterrées. Les frontières sont de nouveau surveillées, le discours sur le genre dans les écoles est rejeté, et la confiance envers les médias traditionnels s’effondre. Le soutien aux monnaies numériques de banque centrale (CBDC) chute. En Europe, malgré un retard, les mouvements conservateurs prennent de l’ampleur. La peur a changé de camp.
Mais ce repli apparent n’est pas une reddition. C’est un changement de stratégie.
L’escalade ukrainienne : vers une guerre mondiale ?
Si les mondialistes parlent moins, leurs actions parlent pour eux. L’Ukraine devient leur champ de bataille prioritaire. Attaques de drones contre des radars nucléaires russes, frappes sur des bases stratégiques, provocations visant directement la doctrine de dissuasion nucléaire russe… Tout indique une volonté d’enclencher un point de non-retour.
Le risque ? Un engrenage incontrôlable : frappes massives sur les villes ukrainiennes, riposte occidentale, puis guerre ouverte entre l’OTAN et la Russie. Même un retrait américain ne suffirait plus à calmer le jeu. Derrière cette folie, une logique froide : détourner l’attention d’un effondrement économique imminent par un conflit global, justifier le contrôle total au nom de la sécurité.
Conclusion : le calme avant le chaos
Le silence des élites mondialistes n’est pas une absence. C’est une concentration. Toute leur énergie semble canalisée vers l’Ukraine. Plus de blabla sur le climat, plus de forums ouverts : juste des mouvements discrets, militaires, économiques, géostratégiques. Comme si un « Plan B » était en route, plus dangereux, plus radical. Et cette fois, ils avancent masqués.
