Censure numérique en France : un projet sous couvert de bienveillance ?
Depuis plusieurs semaines, Emmanuel Macron multiplie les annonces autour de la réglementation des réseaux sociaux, invoquant la protection de l’enfance. L’émotion suscitée par un drame tragique – le meurtre d’une surveillante scolaire – a été immédiatement utilisée pour accélérer les projets de loi visant à restreindre l’accès des mineurs aux plateformes numériques. Pourtant, les premiers éléments de l’enquête ont formellement écarté tout lien direct avec Internet.
Ce décalage entre les faits et la réponse politique révèle une volonté de contrôle comportemental, dissimulée derrière un vernis sécuritaire. Une dynamique bien connue de ceux qui suivent de près l’évolution du crédit social numérique en Europe. Ce guide de résistance contre les CBDC permet d’en comprendre les ramifications cachées.
Pour une analyse confidentielle et sans filtre, cette ressource indépendante vous alerte chaque semaine.
Identité numérique obligatoire : vers une surveillance de masse ?
Le gouvernement, soutenu par Aurore Bergé et Clara Chappaz, pousse désormais un projet de vérification d’âge obligatoire sur les réseaux sociaux. Derrière ce prétexte s’installe, pas à pas, une identité numérique centralisée, qui permettra de tracer et de surveiller chaque citoyen dans ses usages numériques, de la messagerie privée au moindre commentaire en ligne.
Ce type de mesure s’inscrit dans un agenda plus large : la mise en place d’un système de gouvernance algorithmique. L’encadrement n’est plus sanitaire ou éducatif, il est comportemental et idéologique.
C’est pour cela que de nombreux analystes recommandent déjà de se préparer à ce virage en étudiant des mécanismes alternatifs au contrôle monétaire numérique.
Pour prendre de l’avance sur les stratégies cachées, la Lettre Confidentielle de Géopolitique Profonde offre un éclairage sans langue de bois.
Bruxelles complice : le DSA comme cheval de Troie
La Macronie ne se contente pas de l’Hexagone : elle exporte ses méthodes à Bruxelles. Grâce à ses relais institutionnels, elle pousse à un durcissement du Digital Services Act (DSA), transformant un texte initialement prévu pour encadrer les grandes plateformes en un outil de censure politique. Ce sont désormais les valeurs « européennes » – souvent floues – qui déterminent ce qui peut ou non être dit en ligne.
Cette évolution transforme l’Europe en laboratoire d’un autoritarisme technocratique. À l’instar des systèmes de notation numérique expérimentés en Chine, on voit poindre une volonté de modeler les comportements au nom du « bien commun ».
Ce manuel d’autodéfense numérique et économique pourrait bien devenir indispensable dans les années à venir.
Et pour décrypter l’ingénierie sociale en coulisse, cette lettre confidentielle est devenue une référence.
L’État contre les familles : effacement de la cellule parentale
Le projet ne s’arrête pas à la censure. Emmanuel Macron et ses ministres cherchent également à se substituer à l’autorité parentale, en imposant un encadrement éducatif idéologisé. À travers les modules EVARS, promus dans les écoles, l’État diffuse des contenus sensibles à des enfants de plus en plus jeunes, sans consultation ni consentement parental. Le discours moralisateur masque mal un projet de domestication des consciences.
On assiste ici à une forme de soft totalitarisme numérique, où la manipulation émotionnelle justifie des atteintes graves à la liberté éducative et à l’intimité familiale.
Heureusement, il existe encore des leviers pour se prémunir de cette emprise : les solutions contre l’identité programmable et les outils de traçage offrent une vraie marge de manœuvre.
Quant à ceux qui veulent garder une longueur d’avance, la Lettre Confidentielle de Géopolitique Profonde décrypte chaque semaine les plans cachés du pouvoir.
Conclusion : derrière la censure, un projet de société autoritaire ?
Ce que Macron présente comme un effort de « régulation » cache une volonté profonde de refondation idéologique du lien citoyen-État. En restreignant la liberté d’expression, en infiltrant l’éducation, en redéfinissant les usages numériques, le pouvoir construit une société sous surveillance. Ce glissement vers une technocratie morale doit alerter chaque citoyen.
Face à ce virage inquiétant, il est plus que jamais vital de s’équiper intellectuellement et pratiquement. Les outils de protection contre le contrôle numérique deviennent des boucliers de souveraineté individuelle.
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