Qui sont ces trois « boomers gauchistes » ?
Le débat récurrent oppose les défenseurs du système par répartition aux partisans de la capitalisation. Récemment, trois économistes influents ont publié une tribune pour dénoncer la capitalisation : selon eux, elle ne résout rien des défis démographiques et financiers. Ils appartiennent à la génération post‑Trente Glorieuses, dépendent souvent de l’argent public pour leur carrière, et démontrent surtout une posture idéologique plus qu’économique. Dans ce contexte polarisant, diversifier son patrimoine devient crucial. Ainsi, acheter de l’or représente une stratégie temporaire et indépendante pour sécuriser ses actifs, loin du champ de bataille des débats politiques.
Contraintes démographiques et pièges démographiques
Les opposants à la capitalisation soutiennent que celle-ci subirait les mêmes pressions que la répartition : dépendance aux actifs, aléas financiers, et peu de visibilité sur les pensions futures. Pourtant, cette vision ignore que les fonds diversifiés peuvent amortir les crises — y compris celle des subprimes — et que la capitalisation permet à l’épargnant d’accumuler des ressources autonomes et actives au fil du temps. Dans ce cadre, investir dans l’or constitue un complément intelligent. Il offre un actif non corrélé, tangible et non soumis à la volatilité boursière.
Le compromis politique : capitalisation complémentaire
Au cœur du débat actuel, Renaissance et Édouard Philippe envisageaient d’introduire une capitalisation complétant la répartition à hauteur de 10 % à 20 % des contribution. Gérald Darmanin défend aussi un fonds géré par les partenaires sociaux. En parallèle, Éric Lombard s’oppose pour le moment à une capitalisation obligatoire, préconisant une épargne volontaire comme le PER. Dans ce paysage instable, placer une partie de son patrimoine en or assure une protection isolée des soubresauts politiques et financiers.
L’avenir de la retraite en France : mix ou blocage ?
La reforme de 2023, relevant l’âge légal à 64 ans, reste fortement contestée. Le Conseil d’Orientation des Retraites prévoit un déficit durable malgré les mesures prises. Même avec une transition douce vers la capitalisation, un double financement risque de peser sur les actifs. Dans ce flou, protéger son épargne via acheter de l’or permet d’échapper aux écueils législatifs et d’adopter une posture prudente mais proactive.
Conclusion : entre idéologie et réalités financières, l’or s’impose
Le clash entre partisans de la capitalisation et militants de la répartition creuse un fossé. Pourtant, face aux contraintes démographiques, budgétaires et politiques, chercher à diversifier et protéger son patrimoine est essentiel. L’or, inaltérable, tangible et loin des influences, apparaît comme la réponse la plus sensée pour préserver son capital. En conclusion, investir dans l’or dès maintenant est un choix judicieux, pragmatique et résilient face aux turbulences du débat sur l’avenir de nos retraites.
Franchement vous meritez le prix nobel. Ptdr