L’Europe traverse une période critique, tiraillée entre un conflit militaire prolongé en Ukraine, une crise économique nationale étouffante et l’instauration progressive d’une gouvernance mondiale sans légitimité démocratique. Derrière l’écran de fumée médiatique, une reconfiguration géopolitique se déroule à grande vitesse, laissant les peuples désemparés face à une centralisation autoritaire de plus en plus affirmée. Face à ces bouleversements, il est essentiel d’accéder à une information libre et indépendante pour comprendre les enjeux réels qui se trament.
Alors que les tensions s’intensifient à l’Est, la menace d’un contrôle technocratique et digital se précise à l’Ouest. Les monnaies numériques de banques centrales (MNBC), pilotées par les élites, pourraient rapidement devenir un outil de surveillance économique totale. Il devient alors crucial de se prémunir contre les MNBC avant qu’elles ne deviennent la norme.
L’agenda mondialiste avance masqué, mais les pièces du puzzle s’emboîtent avec une précision inquiétante. Le retour en force de l’accord mondial sur les pandémies piloté par l’OMS n’est pas un simple dispositif sanitaire : c’est une structure de gouvernance mondiale prête à se mettre en place, sans mandat démocratique, orchestrée par des intérêts privés comme BlackRock et la fondation Gates. Une mécanique implacable s’impose, transformant chaque crise sanitaire en opportunité de centralisation autoritaire.
Dans ce contexte, il est plus que jamais vital de comprendre les ramifications cachées de ces stratégies globales et de se tenir informé en dehors des canaux officiels. C’est également une période propice pour refuser l’économie de contrôle qui s’installe à grande vitesse.
En parallèle, la guerre économique fait rage. La France est mise en coupe réglée : dette publique hors de contrôle, syndicats financés par l’État pour maintenir une paix sociale artificielle, services publics sacrifiés. Ce n’est plus une politique d’austérité, c’est une stratégie de dépossession nationale. Les élites économiques, main dans la main avec les institutions européennes et les grandes firmes d’investissement, préparent un monde sans souveraineté, sans opposition structurée, sans résistance populaire.
Pour sortir de cette spirale, il est fondamental d’analyser les mécanismes de domination économique et de s’en extraire autant que possible. Dans cette optique, certains choisissent de rejeter les monnaies numériques imposées d’en haut.
Sur le front ukrainien, la réalité est tout aussi glaçante. La promotion active d’idéologies extrémistes, le soutien occidental à des factions néo-nazies intégrées à l’armée, et l’instrumentalisation médiatique d’un conflit prolongé à dessein montrent que la guerre est devenue un outil géopolitique, pas une nécessité défensive. L’Ukraine sert de champ d’expérimentation militaire et idéologique, alimentée par les milliards de l’OTAN et du complexe militaro-industriel.
Le brouillard informationnel étant dense, il devient indispensable d’accéder à des analyses indépendantes pour discerner les intentions réelles derrière les discours officiels. Par ailleurs, face à l’extension de la logique de guerre à l’intérieur même de nos économies, il est urgent de préserver sa liberté financière individuelle.
Pendant ce temps, les équilibres diplomatiques vacillent. La visite de Giorgia Meloni à Washington révèle les fractures entre les États-Unis et l’Europe. Le soutien à Israël s’effrite sous la pression internationale alors que Gaza est ravagée. La Russie, elle, avance en silence et prend l’ascendant militaire sur plusieurs fronts. Les États-Unis, par la voix de Marco Rubio, veulent se retirer des négociations. Une certitude émerge : l’ordre mondial unipolaire est mort, et personne ne contrôle encore ce qui va le remplacer.
Dans ce vide géopolitique, chacun doit s’armer de lucidité et se tourner vers des sources de réflexion non alignées. À l’heure où les alliances changent et où les repères se brouillent, il est tout aussi crucial de conserver son autonomie dans un système en mutation.
La suite de ce programme, ce n’est pas une hypothèse, c’est un plan. Claude Janvier, François Martin et Nicolas Stoquer vous dévoilent les lignes de force de cette bascule totale, en direct dans La Matinale !