Le sacrifice comme fondement caché de la modernité
La figure du père s’effondre, et avec elle disparaît l’ordre, la limite, la transmission. Dans ce vide laissé par le sacré, le monde contemporain glisse vers un retour archaïque : celui du sacrifice humain. Loin d’avoir disparu, le rite sacrificiel se dissimule désormais derrière le masque de la victime. L’idéologie moderne sanctifie cette victime pour mieux perpétuer la violence, non plus comme un accident de l’histoire, mais comme une nécessité systémique.
Dans une société qui prétend avoir dépassé le religieux, on sacrifie désormais par des moyens technocratiques, économiques ou biologiques. Les CBDC (monnaies numériques de banque centrale), par exemple, pourraient bientôt devenir l’instrument silencieux de cette nouvelle forme de contrôle sacrificiel. Découvrez comment s’en prémunir ici. Et pour rester informé(e) des coulisses de ce basculement, cette lettre confidentielle vous guide chaque semaine.
Quand la victime devient idole, la violence devient système
René Girard l’a vu avant tout le monde : sans transcendance, le diable prend les traits du sacrifié. Derrière l’apparente compassion se cache une mécanique froide, implacable, industrielle. L’avortement, justifié par l’émancipation, devient un autel sacrificiel permanent. Le monde moderne ne croit plus en Dieu, mais il sacrifie toujours. Simplement, il ne le nomme plus.
La guerre en Ukraine, le transhumanisme ou la bioéthique extrême ne sont que les prolongements de cette logique. Les États ne gouvernent plus, ils administrent des cultes sacrificiels sous couvert de science ou de progrès. Pour s’en extraire, des solutions concrètes existent. Et pour percer l’écran de fumée médiatique, cette lettre d’analyse vous propose une lecture lucide du réel.
La religion du totalitarisme : temples, dogmes et hécatombes
Le XXe siècle n’a pas inventé la violence, il l’a rationalisée. Le totalitarisme devient une religion sans Dieu, avec ses temples, ses dogmes et ses hécatombes. De la guerre mondiale aux purges idéologiques, chaque régime a exigé le sang pour asseoir sa légitimité. La modernité croit progresser, elle répète les vieux rites, avec une puissance démultipliée.
Aujourd’hui, cette religion s’incarne dans le langage de la sécurité, de la santé ou du climat. Mais elle exige toujours une obéissance absolue. L’individu autonome devient hérétique. Pour reprendre du contrôle, la résistance passe aussi par le refus des monnaies programmables. Et les données stratégiques rassemblées dans cette lettre permettent de lire la matrice actuelle à travers une grille de compréhension alternative.
Le sacrifice du Christ : l’acte ultime de résistance
Face à cette spirale, un seul geste résiste : la messe. Non comme souvenir lointain, mais comme mémoire vivante d’un sacrifice qui met fin à tous les sacrifices. Le Christ, en se livrant, n’appelle plus à tuer mais à se donner. La messe, dans son apparente simplicité, devient l’acte le plus subversif dans un monde qui consacre la destruction.
Dans un monde où la destruction est devenue vertu sociale, le simple fait de conserver une vie spirituelle cohérente devient révolutionnaire. Reprendre le contrôle, c’est aussi refuser les outils technocratiques de la servitude moderne. Et cette publication hebdomadaire peut devenir votre boussole dans le brouillard de la manipulation globale.
Guerre juste ou guerre spirituelle ?
Et si l’on pouvait encore mener une guerre juste, une guerre chrétienne, sans trahir l’esprit de l’Évangile ? Et si l’Ukraine n’était pas seulement un champ de bataille, mais le théâtre d’un affrontement spirituel entre la violence et la vérité ?
Le Colonel Jacques Hogard et Sylvain Durain dévoilent ce que la modernité s’efforce de taire : nous avons remplacé Dieu, mais pas la soif de sacrifice, dans Le Libre Journal de Géopolitique Profonde avec Nicolas Stoquer et Lara Stam !
L’enjeu n’est plus simplement géopolitique, mais profondément anthropologique et eschatologique. Comprendre les mécanismes de cette dérive sacrificielle est essentiel pour y résister. Et mettre en place une stratégie d’autonomie numérique et financière peut devenir un acte de foi moderne.