Il y a un an, entre le 13 et le 16 mars 2020, a commencé un confinement mondial qui est considéré pour une très grande partie de la population comme étant les jours les plus compliqués de leur vie. Nous pensions tous que nos droits et nos libertés étaient plus ou moins en sécurité. Il faut avouer que nous avons pris certaines choses pour acquises et plus particulièrement le fait que jamais nos gouvernements pourraient nous obliger de rester chez nous, de fermer la plupart des nos entreprises et nos écoles, d’interdire les voyages à l’étranger, de cadenasser nos églises, nos salles de sport, nos salles de cinéma et de concerts, d’annuler toutes les programmations d’événements et encore moins de confiner l’ensemble de nos sociétés, un véritable contrôle de nos vies sous couvert de la propagation d’un virus.
Tout cela a changé avec un document fédéral publié le 13 mars 2020, et ensuite annulé trois mois plus tard. C’était les consignes à suivre par rapport au confinement. Les jours suivant, les gouverneurs ont complètement paniqués. Les gens ont commencé à paniquer. Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que dans une certaine mesure, tout a été mis en place dans nos sociétés pour contrôler le peuple. Les confinements ont été planétaires avec seulement que très peu de récalcitrants comme par exemple l’état du Dakota du Sud.
Un an après, le plupart des états tentent une sorte de réouverture sachant que ceux qui se ont maintenu les confinements ont de plus de plus de mal à contrôler leur population. Peu importe les avertissements, beaucoup de gens ont décidé de ne plus vivre un tel enfer.
Jusqu’au 14 mars 2020, personne aurait imaginé devoir un jour traverser une telle période où l’on a enlevé autant de droits et de libertés en même temps. Ceci n’était pas arrivé depuis 1918.
Lors de la grave pandémie de 1957-58, les responsables ont déclaré explicitement:
« Il n’y a à ce stade aucun avantage pratique dans le fermeture d’écoles ou de la réduction des rassemblements publics en ce qui concerne la propagation de cette maladie ».
Ce fut la même chose en 1968-69, 2006, 2009 et 2012-13.
Puis est arrivé en 2020, le SARS-CoV-2. Les informations en provenance de Chine étaient choquantes et montraient des personnes qui tombaient morts dans la rue, les appartements étaient mêmes scellés et des policiers forçaient des gens à vite rentrer chez elles. Le nord de l’Italie semblait très fortement impacté. En très peu de temps, il s’agissait d’une nouvelle peste et toute cette maladie a envahi l’ensemble de la culture politique.
Il est à noter que les questions se posent vraiment désormais quant à savoir si les différents confinements ont réellement fonctionné à la hauteur de leurs attentes. La peur qui a poussé à mettre en place les différents confinements était liée aux chiffres souvent erronés en provenance de la Chine et de Hong Kong concernant les décès.
Peu importe, la planification centrale en cas de pandémie, même si vous y croyez, repose sur la connaissance de la gravité d’une maladie particulière avant que les preuves ne soient recueillies. Ceci n’est tout simplement pas possible. Le ARS-CoV-2 a frappé différents pays de différentes manières en fonction de la démographie et du profil d’immunité de la population. L’Afrique, l’Asie et l’Amérique ont toutes eu des expériences très différentes avec le virus, quelle que soit la politique.
Le plus dur pour le moment est savoir de manière scientifique, combien de vies ont été sauvées grâce à tous les tests, la mise en quarantaine, le port du masque et des différents confinements.
Ce qui est très inquiétant, est que personne ne le sait vraiment ! Il n’y a, à ce jour, aucun lien précis qui prouve les bien faits des confinements en termes de vies sauvées.
Et même si les confinements avaient marché par rapport à la maladie, étaient-ils pour autant nécessaires ? Est-ce que cela valait la peine de détruire autant d’entreprises, de forcer des dépistages de cancers, d’empêcher les enfants d’aller à l’école pendant un an, de briser tant de communauté qui dépendent de lieux de culte, d’enfermer le gens chez eux, ou encore d’entraver la capacité de voyager ?
Dans un souci de fonctionnement social et économique ainsi que pour les droits de l’homme, l’atténuation des maladies ne doit pas être gérée par les acteurs politiques mais plutôt par des professions médicales, comme le dit l’AIER depuis un an.
Le bilan est catastrophique et pourtant, il va falloir allez de l’avant. Nous avons un budget fédéral ruiné, un système monétaire fracassé et une population brisée et démoralisée. Qui aurait pu imaginer que ces populations finissent ar être aussi mal traitée que leur propre classe politique. Je peux vous dire que le traumatisme de 2020 se fera sentir encore pendant des décennies. La guérison ne viendra que grâce à la vérité et à l’honnêteté, d’une volonté commune de rejeter toute la folie, duplicité et la tromperie qui ont malheureusement guidé notre monde actuel.
Il serait temps de dire toute la vérité !
Source: zerohedge
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