Joe Biden a eu beaucoup de mauvaises semaines au cours des 12 derniers mois, mais cette semaine est sûrement la cerise sur le gâteau. En fait, il est difficile de se rappeler la dernière fois qu’un président a eu une semaine aussi désastreuse. Mais ce n’était pas censé arriver. Les démocrates promettaient un retour à la « normalité » après les années Trump, mais au lieu de cela, pratiquement tout semble aller encore plus mal. Peu importe où vous vous situez sur l’échiquier politique, vous devriez pouvoir admettre que la présidence de Joe Biden ne se passe pas très bien du tout. À ce stade, même de nombreux démocrates utilisent le mot « échec » pour décrire Biden, et cela alimente les rumeurs selon lesquelles Hillary Clinton pourrait se représenter en 2024.
Oui, la présidence de Biden a été un désastre si flagrant dans son ensemble que l’absolument impensable pourrait en fait devenir une réalité.
Juste au moment où vous pensez que les choses ne peuvent pas s’aggraver, d’une manière ou d’une autre, c’est pourtant bien ce qui se réalise. Voici 11 raisons pour lesquelles ce fut la pire semaine de Joe Biden…
#1 L’Obligation vaccinale de l’OSHA
Jeudi, nous avons appris que la Cour suprême des États-Unis avait voté 6 contre 3 pour annuler l’obligation vaccinale d’OSHA pourtant si chère à Biden…
Le président Biden a exhorté les entreprises à introduire elles-mêmes des obligations vaccinales et a poussé les États à “ faire ce qu’il faut » après que la Cour suprême a voté 6 contre 3 pour bloquer ses règles radicales sur les entreprises privées, soi-disant pour faire face à la pandémie.
La Haute Cour a cependant autorisé l’entrée en vigueur d’une obligation vaccinale pour les employés des établissements de santé recevant des fonds fédéraux.
L’obligation vaccinale de l’OSHA aurait concerné environ 80 millions de d’employés américains, et d’innombrables salariés dans tout le pays qui auraient perdu leur emploi en vertu de cette obligation insensée sont en train de faire la fête en ce moment.
#2 L’obstruction systématique
Biden espérait désespérément que tous les démocrates du Sénat Américain accepteraient de bloquer l’obstruction systématique afin qu’il puisse faire adopter le « projet de loi sur les droits de vote » par le Congrès, mais la sénatrice Kyrsten Sinema vient de dire extrêmement clairement qu’elle n’est pas disposée à le faire…
Tout d’abord, la sénatrice de l’Arizona Kyrsten Sinema, une collègue démocrate, a annoncé que bien qu’elle soutienne le projet de loi sur le droit de vote, elle n’est pas disposée à faire ce qu’il faudrait pour que cela se produise. Oui, je m’oppose à cette réforme.
Cela s’est produit seulement deux jours après que le président a prononcé un discours si passionné en faveur de la suppression de l’obstruction systématique que les républicains ont essentiellement qualifié cette démarche comme étant déshonorante. Et même un sénateur démocrate a déclaré que Biden, qui s’était engagé il y a un an à unir les Américains, était allé trop loin dans son discours.
Quand elle a été élue, je n’aurais jamais imaginé que le jour viendrait où je serais reconnaissant envers Kyrsten Sinema.
Mais aujourd’hui, je suis définitivement très reconnaissant qu’elle ait pris cette position.
#3 Inflation
Cette semaine, il a été annoncé que le taux d’inflation avait atteint un sommet en 40 ans, et les Américains en veulent à Biden.
Et comme je l’ai souligné dans un article que j’ai publié mercredi, si l’inflation était toujours calculée comme elle l’était en 1980, le taux d’inflation officiel dans ce pays serait supérieur à 15 % à ce stade.
#4 Pénuries
En décembre, Joe Biden a déclaré à la nation que la crise de la chaîne d’approvisionnement était terminée.
Bien sûr, ce n’était pas vrai, et maintenant les rayons des magasins sont incroyablement vides que l’expression « BareShelvesBiden » a été à la mode sur les réseaux sociaux tout au long de cette semaine.
# 5 Cote d’approbation de Joe Biden
Au début de sa présidence, Biden avait en fait de très bonnes cotes d’approbation, mais maintenant, elles continuent de baisser de plus en plus.
Comme je l’ai souligné hier, les sept derniers sondages « Quinnipiac » montrent une tendance très nette de chute…
Taux d’approbation global du président Biden dans les sept derniers sondages de « Quinnipiac » : 49 %, 46 %, 42 %, 38 %, 37 %, 36 %, 33 %.
# 6 Cote d’approbation de Fauci
Le Dr Fauci était le choix parfait de Biden, pour sortir les États-Unis de cette pandémie, mais il perd régulièrement la confiance du peuple américain.
Selon un sondage « NewsNation » qui vient d’être réalisé, seuls 31% de tous les Américains croient encore ce qu’il nous dit sur la pandémie.
#7 Omicron
Pendant la campagne présidentielle, Joe Biden a promis à plusieurs reprises qu’il « en finirait avec le virus », mais ces derniers jours, le nombre de cas de COVID a grimpé à des niveaux records aux États-Unis. À ce stade, les choses vont si mal que même les responsables de l’administration Biden admettent que les services essentiels risquent de s’effondrer totalement…
La commissaire par intérim de la « Food and Drug Administration », le Dr Janet Woodcock, a donné aux législateurs américains un avertissement inquiétant cette semaine : la nation doit s’assurer que les services de police, d’hôpitaux et de transport ne tombent pas en panne alors que la vague sans précédent d’infections à l’Omicron à travers le pays oblige les gens à obtenir des arrêts de travail.
« Il est difficile d’analyser précisément ce qui se passe réellement en ce moment, c’est-à-dire que la plupart des gens vont attraper le Covid », a déclaré Woodcock devant le comité sénatorial de la santé mardi. « Ce que nous devons faire, c’est nous assurer que les hôpitaux peuvent toujours fonctionner, que les transports et les autres services essentiels ne soient pas interrompus justement en ces temps très compliqués.
#8 Le manque de tests COVID
Même CNN et MSNBC ont dénoncé la stratégie de Biden relative aux tests cette semaine pour car une fois de plus, il n’y avait pas suffisamment de tests COVID pour tout le peuple américain.
Maintenant, l’administration Biden nous dit que des millions de nouveaux tests sont en route, mais au moment où ils arriveront, la vague Omicron pourrait bien être terminée.
#9 Russie
La politique étrangère demande beaucoup de finesse et de subtilité, et c’est quelque chose qui manque cruellement à l’équipe de Biden.
Quand j’ai commencé à avertir que Biden était entouré de la pire équipe de politique étrangère de l’histoire des États-Unis, beaucoup de gens pensaient que j’exagérais.
Mais maintenant, la vérité devient très claire aux yeux de tous, et une guerre potentielle avec la Russie dont personne ne veut, est plus proche que jamais…
Les pourparlers pour trouver une solution diplomatique à l’aggravation de la situation entre la Russie et l’Ukraine sont sur le point de s’effondrer après la réunion de jeudi alors qu’un ambassadeur clé des États-Unis a averti que « le battement de tambour de la guerre sonne fort ».
Le secrétaire d’État Antony Blinken a fait parler de lui jeudi matin, où il a également rappelé les problèmes graves de la crise géopolitique mondiale, affirmant que le « jury est toujours absent » pour savoir si le renforcement militaire agressif du président russe Vladimir Poutine à la frontière ukrainienne se terminera par une invasion ou non.
# 10 Kamala Harris
Est-ce que même Kamala Harris aurait tendance à s’opposer à Biden ?
Cette semaine, un journaliste a demandé à Harris si les démocrates auraient la même approche politique avec la même équipe pour les présidentielles en 2024.
Normalement, ce serait une question très facile à laquelle n’importe quel vice-président pourrait répondre.
Mais au lieu de répondre « bien sûr », voici comment Harris a répondu…
JOURNALISTE : « Allons-nous voir la même équipe pour les prochaines élections présidentielles en 2024 ? »
HARRIS : « [longue pause] Je suis désolée mais nous sommes en pleine réflexion…
Wow.
Je pense que c’est un autre signe très clair qu’il se passe beaucoup plus de choses dans les coulisses dont on ne veut absolument pas nous parler.
#11 Hillary Clinton
Biden est un tel échec que certains démocrates suggèrent déjà qu’Hillary Clinton devrait être la candidate démocrate en 2024.
Non, sérieusement.
Mercredi, un article pro-Hillary rédigé par deux agents démocrates clés nommés Douglas E. Schoen et Andrew Stein est paru dans le « Wall Street Journal ». Dans leur article, ils ont énuméré un certain nombre de raisons différentes pour lesquelles ils pensent qu’Hillary serait un bon choix pour le prochain cycle électoral…
« Plusieurs circonstances – le faible taux d’approbation du président Biden, des doutes sur sa capacité à se présenter à la réélection à 82 ans, l’impopularité du vice-président Harris et l’absence d’un autre démocrate fort pour orienter la prochaine campagne présidentielle en 2024 – ont créé un vide de leadership dans le parti, que Mme Clinton pourrait remplir de manière viable », écrivent-ils.
Alors, pourrions-nous réellement voir une revanche entre Hillary Clinton et Donald Trump ?
Bien sûr, nous avons encore trois ans d’administration Biden/Harris à subir d’abord, et ce ne sera pas particulièrement agréable.
Des décennies de décisions extrêmement stupides ont préparé le terrain pour nous plonger là où nous sommes aujourd’hui, et maintenant Biden et ses sbires nous vont nous mener sur un terrain glissant.
D’ici 2024, ce pays pourrait être complètement méconnaissable.
La première année de Biden a été absolument terrible, et les trois prochaines années seront probablement encore pires.
Mais il n’y a pas de « bouton de sortie » sur ce trajet, et nous allons donc tous devoir endurer et supporter une vie incroyablement chaotique qui se profile.
Source: theeconomiccollapseblog
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