Il fait moche, les actualités sont déprimantes, vos voisins agressifs, et Marley[1] a mangé vos lunettes, mais tenez bon ! Les vacances arrivent bientôt, vous allez pouvoir oublier tout ça.
En attendant, coincés au bureau, dans les transports ou à la maison, ici, on pense à vous !
Aujourd’hui je vais essayer de vous faire voyager un peu aux 4 coins du monde, dans des endroits sympas, là où d’autres de nos compatriotes ont décidé de poser leurs valises… et leurs cartons… et leurs meubles, leur voiture, leur famille, et tout ça en même temps.
Nous allons nous intéresser à cette catégorie de français qui a succombé aux appels de l’ailleurs, là où l’herbe est censée être plus verte, le soleil plus radieux, et la vie plus facile, en latin : homo francus itinerans, ou plus moderne : l’expatrié français.
L’expatrié français est un être humain normal, à ceci près qu’il a décidé un jour de quitter ses terres natales, et qu’il l’a fait ! Comment et pourquoi, là sont les questions, comme dirait Hamlet.
Qu’est-ce qui pourrait bien pousser[2] chaque année des dizaines de milliers de français à dire au revoir à notre pays, à renoncer à ses 4 saisons et ses 1.000 paysages enchanteurs, ses villes dynamiques, sa culture inimitable que le monde entier rêve de découvrir, et plus matériellement son système de protection sociale, son niveau de confort, ou la robustesse de ses banques ?
On a eu envie de les suivre dans leurs migrations pour voir où ils atterrissent, et ce qu’ils y trouvent de plus qu’en France.
On s’intéressera aussi à ces français qui partent par dépit, même s’ils aiment toujours autant notre pays, et nous allons voir qu’il n’y a jamais qu’une seule raison qui nous pousse à nous en aller.
VOILÀ COMMENT VOUS DÉFENDRE CONTRE LE PROCHAIN CHOC FINANCIER
Je m’appelle Henry Bonner. Après des années de déformation… de triche… et dans les marchés grâce aux dirigeants… L’addition doit être payée. Le résultat inévitable de tout cela : une destruction de la valeur de l’euro. Mais la solution n’est pas d’acheter le dollar ou le yen… À notre avis, l’or est l’un des meilleurs placements contre cette débâcle. Cliquez ici pour notre guide gratuit sur comment vous en procurer (plus d’autres informations sur le désastre en vue).
Les marchés participent à une sorte de guerre contre les personnes ordinaires. Les acteurs financiers veulent des sauvetages… de la dette. Ils souhaitent en réalité plus d’ingérence du gouvernement dans la vie des gens, en prenant leur argent en otage. Le tout pour soutenir les banques et entreprises zombies… ou favoris des élus (éoliennes, batteries, semi-conducteurs,…). Ce danger nous mène vers l’abîme. La meilleure défense pourrait être d’avoir de l’or – la monnaie qu’ils ne peuvent pas imprimer. Prenez votre guide offert sur comment vous protéger en cliquant ici.
Le pire attend devant nous, quand nous arriverons au bord de cette falaise… un gouffre profond. Ne vous attendez pas à une résolution rapide et indolore. Ne croyez pas à un atterrissage en douceur. Attendez-vous à un déclin sérieux et marqué dans nos modes de vie et manières d’être. Nous n’avons pas vu le pire. C’est dans ce gouffre que nous nous enfilons tous en tant que pays… mais l’or devrait pouvoir nous protéger contre la destruction de l’euro. Cliquez ici pour votre guide offert.
Il est trop tard pour s’expatrier dans de bonnes conditions, vous pouvez eventuellement fuir, mais avec plus grand chose… Mais vous etiez prevenus: http://survivreauchaos.blogspot.com/2015/07/expatriation-le-costa-rica-autonomie-base-autonome-durable.html
S’expatrier, l’idée est bonne, mais aussi faut-il choisir le bon pays. Or il n’y a quasiment pas de bon pays.
Les monnaies numériques vont être implantées un peu partout dans le monde, sauf par exemple en Bolivie. Le mondialisme a quasiment gangréné la planète entière.
Il y avait les USA avec Trump, mais maintenant le pays sombre dans un délire total.
Au moins en France, nous avons nos réseaux, nos lieux de prédilection ; chacun connait comme sa poche tel ou tel coin. Cela ne sera jamais le cas à l’étranger, la barrière de la langue et de la culture fera que vous ne serez jamais comme un natif, il vous manquera un « je ne sais quoi » pour faire de vous un bon américain par exemple. Ce sera toujours une longueur de retard sur les autochtones, ceux du cru.
Tout à fait d’accord avec vous et justement après avoir pesé le pour, pesé le contre, la Suisse romande limite les inconvénients, mais il y a beaucoup de conditions, on ne rentre pas en Suisse comme dans un moulin. Il y a un suivi, des comptes à rendre régulièrement (tant sur le travail que sur le logement) et il ne bataille pas sur les règles, autrement retour à la case frontière. Il faut aussi, très important, justifier le montant des revenues du foyer avec embauche, si les revenues sont inférieurs à la grille étant donné que la vie est chère en Suisse , il ne délivre pas de carte définitive sur le territoire (le canton). Il me semble qu’il faut aussi avoir un référant Suisse. Même pour les retraités il faut justifier d’un certain montant, sans cela pas de retraite paisible en Suisse. La France a du boulot pour en arriver à ce niveau, même pas en rêve.
C’est en effet, ce qu’il y a de mieux pour un français, avec dans l’absolu, le Québec. Je dis dans l’absolu car en l’état actuel des choses (Trudeau , et ce qui va avec) c’est assez mal barré, passez moi l’expression.
La Suisse reste encore un espace privilégié, c’est vrai.
La Suisse est un ancien pays développé au même titre que tous les pays d’Europe de l’ouest, c’est juste qu’il traine un peu pour s’aligner sur la dégénérescence des autres, mais le NOM n’a pas prévu de l’épargner…