Il se trouvera toujours des lecteurs pour expliquer doctement que nous aussi nous regardions le club Dorothée… certes, mais ce n’était que le mercredi, que quelques heures, et nous passions très peu de temps devant la télé. Il n’y avait ni téléphone portable ni console de jeux. Nous pouvions jouer dehors. Il n’y avait pas les réseaux sociaux qui rendent socio… pathes nos enfants.
Nous lisions. Eux non.
Bref, nous avions un équilibre qui s’est rompu.
Nos enfants ne sont responsables de rien.
C’est à nous, les adultes, d’avoir comme soucis permanent le bien être de nos enfants.
"À force de regarder la télévision, son cerveau a arrêté d'être stimulé." À l'hôpital Jean-Verdier de Bondy (Seine-Saint-Denis), une pédiatre reçoit des parents désemparés pour les aider à faire décrocher leurs jeunes enfants des écrans #AFPTV ⤵️ pic.twitter.com/5luxA1RfIh
— Agence France-Presse (@afpfr) February 21, 2024
Et dans ce cas précis, l’Etat ne doit pas édicter de normes.
Il doit aider les parents à poser un cadre.
Si BFM mettait la même énergie à réduire la place des écrans pour les enfants qu’à vouloir envoyer tous les Français à la vaccination magique, le problème serait réglé depuis longtemps et le niveau scolaire serait en train de se redresser.
On arrive à rien sans discipline… même si le mot discipline est un gros mot.
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latinPour m’écrire [email protected]Pour écrire à ma femme [email protected]Vous pouvez également vous abonner à ma lettre mensuelle « STRATÉGIES » qui vous permettra d’aller plus loin et dans laquelle je partage avec vous les solutions concrètes à mettre en œuvre pour vous préparer au monde d’après. Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi, localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Source: insolentiae – Voir les précédentes interventions de Charles Sannat