Henrik Zeberg déteste s’adresser aux partisans de l’or et de la monnaie saine, mais il ne voit pas l’or ou l’argent résister à ce qu’il considère comme l’un des plus grands krachs boursiers de l’histoire de l’humanité, où presque aucun actif ne sera épargné. Henrik voit l’or, l’argent et les matières premières entrer dans une phase de supercycle au lendemain du krach, et il discute des métaux qui, selon lui, offriront des gains maximum une fois la poussière retombée.