La Géorgie devient un nouveau terrain des révolutions de couleur, où les tensions géopolitiques s’intensifient. Des réseaux occidentaux, souvent liés à des figures comme George Soros, tentent de déstabiliser un gouvernement indépendant pour intégrer le pays dans l’orbite euro-atlantiste. Tandis que Tbilissi est en ébullition, les campagnes restent fidèles à un pouvoir rejetant l’influence occidentale. Ce schisme interne reflète une lutte d’influence entre l’Occident et la Russie, aux conséquences imprévisibles pour la stabilité régionale.
En France, François Bayrou incarne une rare voix pour la paix en Ukraine, mais ses efforts se heurtent à la ligne dure de l’exécutif alignée sur Washington et l’OTAN. Ces désaccords au sommet de l’État mettent en lumière les fractures d’un gouvernement sous tension. Entre une contestation sociale croissante et des divergences stratégiques majeures, l’équilibre politique semble de plus en plus fragile.
Marine Le Pen et le Rassemblement National apparaissent comme une alternative, mais leur capacité à changer la donne reste limitée par les contraintes imposées par Bruxelles. Malgré un discours souverainiste, toute tentative de rupture risquerait de maintenir un statu quo frustrant pour les Français.
La Géorgie, la France, l’Ukraine : des fronts différents mais des dynamiques similaires. Le véritable pouvoir se cache-t-il ailleurs ?
