Le saviez-vous ? À Angoulême, capitale de la bande dessinée, 150 auteurs sur 200 vivent grâce au RSA. Pendant que vous travaillez dur pour payer vos factures, certains colorient aux frais du contribuable. Ce système est-il une aide pour l’art ou une absurdité économique ? Plongeons dans ce débat explosif qui risque de faire grincer des dents.