Un lapsus qui en dit long. La ministre Clara Chappaz a révélé, par inadvertance, l’intention de contrôler non seulement les fausses informations, mais aussi les opinions jugées non conformes. Quand l’État s’arroge le droit de décider ce qui est acceptable, que reste-t-il de la liberté d’expression ? Découvrez pourquoi ce discours inquiète et ce qu’il cache réellement.