L’AFD : Une machine à dilapider les fonds publics
L’Agence Française de Développement (AFD) est au cœur d’un scandale financier d’une ampleur inédite. Derriere les discours officiels sur la solidarité internationale, la réalité est toute autre : une gestion opaque, des milliards d’euros distribués sans contrôle et une dette colossale qui pèse sur les contribuables français. En 2023, l’AFD a dépensé 15,96 milliards d’euros, soit plus que le budget de la Justice ou de l’Agriculture.
Pendant que les Français subissent l’inflation et l’austérité, l’AFD finance des projets à l’étranger, souvent sans retour sur investissement. Découvrez pourquoi cet organisme est critiqué et qui en profite vraiment.
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Des milliards en dons plutôt qu’en prêts
Loin des déclarations officielles, l’AFD affirme que 85 % de son activité repose sur des prêts. En réalité, 65 % des fonds distribués sont des dons irrécupérables. Pire encore, ces milliards ne vont pas toujours aux pays les plus démunis, mais aussi à des économies majeures comme la Chine, qui a reçu 371 millions d’euros entre 2018 et 2020, dont 277 millions en dons.
Comment justifier un tel gaspillage alors que les services publics en France sont à bout de souffle ? Approfondissez la question ici et restez informé sur les stratégies cachées des élites.
Une dette abyssale à la charge des Français
L’AFD s’endette massivement en empruntant 85 % de ses ressources sur les marchés financiers. Résultat : une dette de 60 milliards d’euros, avec une augmentation de 10 milliards en seulement deux ans. Qui paiera cette dette si ce n’est les contribuables français ?
Pendant ce temps, l’AFD finance des programmes discutables, comme la budgétisation genrée en Jordanie ou l’étude des inégalités post-Covid au Togo. Pendant que l’argent s’évapore, les Français sont sommés de se serrer la ceinture. Ne vous laissez pas manipuler et découvrez ce que les médias ne disent pas.
Des salaires mirobolants et un luxe indécent
L’opacité ne s’arrête pas là. Le directeur de l’AFD touche un salaire de 17 500 € par mois hors primes, et l’agence compte 2 800 employés avec 403 millions d’euros de frais de personnel. Pour couronner le tout, elle fait construire un siège de 50 000 m² en plein Paris, pour un coût d’un milliard d’euros.
Pendant ce temps, les Français doivent se contenter de services publics en déliquescence. Faites la lumière sur cette affaire et découvrez les dessous du système.
Une politique contraire aux intérêts français
Loin d’être un outil de puissance, l’AFD finance des projets qui ne renforcent ni l’influence économique ni diplomatique de la France. Elle agit comme un instrument d’ingérence à la manière de l’USAID américaine, orientant les fonds vers des objectifs idéologiques plutôt que stratégiques.
Pourquoi la France continue-t-elle d’alimenter ce gouffre financier ? Qui tire vraiment profit de cette manne ? Découvrez la face cachée de ces mécanismes et restez informé sur ces sujets cruciaux.
Conclusion : Une affaire qui ne doit plus rester sous silence
L’Agence Française de Développement est un symbole de la mauvaise gestion des fonds publics. Loin d’être une organisation humanitaire transparente, elle se révèle être un levier de pouvoir au service d’intérêts éloignés de ceux des Français.
Il est temps d’exiger des comptes et de mettre fin à cette gabegie financière. Ne laissez pas cette information vous échapper et restez à jour sur les véritables enjeux.