« Pour rien. Vacciné pour rien, tué à la guerre pour rien, endetté pour rien. Rien et ils continuent ! ». L’édito de Charles SANNAT

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Pour rien mes amis.

Vous savez quoi ?

Globalement vous avez été dans le meilleur des vacciné pour rien. Dans le pire des cas vous avez quelques effets secondaires plus ou moins désagréables qu’il est de bon ton de passer sous silence.

Vacciné pour rien !

C’est le vacciné pour rien, le confiné pour rien puisque la Suède qui n’a pas confiné n’a pas eu plus de morts. C’est aussi les dépressions pour rien de notre jeunesse ou les lacunes scolaires profondes des jeunes écoliers de CP, CE1 ou CE2 et je sais de quoi je parle ayant un enfant apprenant la lecture confiné… Grandes lacunes que beaucoup se traineront toujours… pour rien. Nous savons tous en notre fort intérieur que tout cela n’a servi à rien ou à si peu. Nous préférons ne pas en parler tant le dégout est important. Nous avons été forcés, nous avons été humiliés, nous avons été soumis au passe, nous avons du dénoncer des voisins ou les empêcher d’aller au restaurant… Pour rien.

Tué à la guerre pour rien !

En Ukraine, nous faisons durer une guerre qui inévitablement prendra fin un jour, avec la Russie qui sera toujours-là, car si la Russie n’est plus là, nous ne le serons plus nous non plus, la Russie détenant plus d’ogives nucléaires que les Etats-Unis ! Tous ceux qui meurent globalement depuis 3 ans dans la froideur des tranchées gelées ukrainiennes meurent pour rien ou si peu. Mais il n’y a pas que la guerre en Ukraine.

Il y a tous ces jeunes soldats français, morts sur un pont à Sarajevo pour rien. Morts au Mali pendant des années pour mieux en partir… pour rien. Morts ici ou là-bas sur tous les champs de bataille décidés pour les intérêts du moment par des mamamouchis à l’abri dans des Palais bien dorés. Morts pour rien.

Endettés… pour rien. 

Oserais-je ce jeu de mots ? Tous vaccinés… tous protégés ? Non, mais tous vaccinés et tous endettés ça oui !

Et pas qu’un peu.

3 400 milliards d’euros de dettes pour rien.

Pour rien.

Pour sauver l’hôpital on ferme des lits, pour sauver l’école on ferme des classes, pour sauver la SNCF on ferme des lignes de trains, pour sauver la justice on ferme des tribunaux, pour sauver la poste on ferme des bureaux

Et la dette augmente… pour rien.

Il n’y a rien en face si ce n’est très certainement des détournements et des “gavages” d’un niveau tel qu’il sont doute similaires à ce que le DOGE de Musk est en train de découvrir chaque jour aux Etats-Unis et que l’on nous cache par tous les moyens en France tant notre dégout pourrait se transformer en un torrent de colère que rien ne pourrait plus arrêter.

Je suis prêt à tout mais pas pour rien !

Je suis prêt à donner ma vie pour celle de mes enfants, mais pas pour rien.

Je suis prêt à donner plus d’argent pour plus d’hôpitaux, d’écoles, de trains, de justice, de postes et de tribunaux, mais pas pour rien.

Je suis prêt à me serrer la ceinture pour rembourser la dette même si je n’en suis pas responsable pour assurer la stabilité de notre pays mais pas pour rien.

Macron, ses ministres qui se succèdent sont des riens. Des politiques pour rien, dont les résultats ne servent à rien.

Nous pourrions élargir, à la guerre du Golfe de 2003 pour rien et sans arme de destruction massive, à l’occupation de l’Afghanistan occupé pendant des années pour en partir… pour rien. Je pourrais vous continuer cette longue litanie pendant des pages.

Tout ce qu’ils nous font faire, nous obligent à faire, est pour rien. 

C’est assez et cela suffit.

Cela passe d’abord par une prise de conscience de tous que tout cela ne sert à rien.

Je ne veux plus jouer.

Si vous comprenez l’importance de ce message vous êtes la résistance au rien, au nihilisme.

Alors faites-le passer.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin

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« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

Source: insolentiae