L’économiste Peter Schiff tire la sonnette d’alarme. Un « Black Monday » plus violent que celui de 1987 pourrait se produire prochainement. Les signaux sont clairs : chute du pétrole, ralentissement global, et crainte d’une récession mondiale. C’est dans ces périodes que l’investissement en or prend tout son sens.
Les marchés réagissent violemment. Les rendements obligataires s’effondrent. L’or et l’argent connaissent une volatilité accrue. Pour Schiff, ces mouvements annoncent un changement de paradigme. Dans un tel climat, acheter de l’or devient une solution de protection incontournable.
La Fed semble à court d’outils. Les baisses de taux ne suffisent plus. Les plans de relance s’enchaînent sans résultats concrets. Pendant ce temps, les licenciements se multiplient. Face à cette perte de confiance généralisée, l’or physique reste un rempart stable.
Les tensions commerciales persistent. Les tarifs douaniers imposés sur des milliards de dollars de biens aggravent la situation. Les entreprises en souffrent. L’économie mondiale ralentit. Dans ce contexte, posséder de l’or protège contre la perte de valeur monétaire.
Schiff met également en garde contre l’effondrement du leadership économique américain. La montée de la Chine comme puissance commerciale rebat les cartes. Les États-Unis, eux, s’enlisent dans la dette et les déficits. Voilà pourquoi l’or retrouve un rôle central dans les portefeuilles avisés.
Enfin, face aux incertitudes à venir, notamment géopolitiques, il devient stratégique de sécuriser ses avoirs. Les actifs tangibles sont de retour. Et plus que jamais, l’achat d’or apparaît comme une décision sage et durable.
