La France assiste à un procès hors norme où s’entrechoquent vérité médiatique, liberté d’expression et pouvoir institutionnel. Ce que vit Natacha Rey n’est pas une simple audience, mais un affrontement frontal entre la parole dissidente et l’appareil d’État. Derrière cette affaire, on retrouve la trace d’un pouvoir qui ne tolère plus aucune remise en cause de son récit officiel, quitte à faire de la justice un levier de répression symbolique.
Dans un tel contexte, se prémunir contre la censure devient un acte de résistance : ce dossier sur les CBDC montre comment le contrôle numérique pourrait être l’étape suivante. Parallèlement, la lettre confidentielle de Géopolitique Profonde explore les enjeux souterrains ignorés des grands médias.
Une vidéo, quatre heures, et un tabou national
EXCLUSIF : ON VOUS DIT TOUT SUR LE PROCÈS DE NATACHA REY CONTRE BRIGITTE MACRON !
Alors que la justice française rejoue l’un des procès les plus controversés de ces dernières années, le sort de Natacha Rey est à nouveau entre les mains des juges. Accusée de diffamation publique à caractère discriminatoire, cette figure médiatique de la dissidence est jugée pour avoir exposé des éléments mettant en cause Brigitte Macron, dans un dossier explosif mêlant identité, pouvoir et manipulation médiatique.
Depuis 2021, cette affaire secoue les sphères politique et médiatique. L’accusation ? Avoir affirmé que Brigitte Macron serait en réalité née Jean-Michel Trogneux, une révélation jugée intolérable par l’Élysée. Mais que contient réellement la fameuse vidéo de quatre heures à l’origine de la plainte ? La défense dénonce un procès politique, une chasse aux voix discordantes, et un simulacre de justice visant à museler toute investigation hors du récit officiel.
Cette dynamique de musellement par la voie judiciaire rappelle comment certains États testent les limites de la liberté numérique et économique. C’est pourquoi il est crucial d’anticiper les dispositifs de contrôle via les monnaies numériques, mais aussi de s’informer autrement, loin des canaux officiels.
Une défense offensive et des accusations renversées
L’avocat de Natacha Rey, François Dangléhant, ne mâche pas ses mots. Il parle de faux en écriture publique, de jugements biaisés, et d’une volonté manifeste de la magistrature de protéger des intérêts supérieurs. Loin d’abdiquer, il prépare une riposte judiciaire inédite, fondée sur des témoins encore jamais entendus et sur des éléments troublants ignorés en première instance.
Ce procès devient alors un révélateur de l’état de droit en France. Peut-on encore contester sans risquer l’exil médiatique ou la prison symbolique ? La question se pose aussi au niveau monétaire et sociétal. C’est pour cela que des solutions concrètes existent contre la centralisation numérique. De plus, des contenus confidentiels vous aident à décoder ce que l’État vous cache.
Une affaire qui fait tache… jusque sur la scène internationale
Cette affaire dépasse les frontières françaises. Elle a trouvé un écho jusqu’aux États-Unis, où des figures médiatiques comme Candace Owens ont relayé les accusations, amplifiant leur portée. Face à cette onde de choc mondiale, l’Élysée contre-attaque et tente d’étouffer ce qu’il qualifie de complot. Mais le doute s’est installé, et le procès en appel pourrait bien rouvrir des brèches que le pouvoir croyait refermées.
À une époque où la désinformation est devenue un mot-valise pour disqualifier toute critique, avoir accès à des sources de réinformation est vital. Et dans un monde où l’économie numérique devient l’outil de la censure, se prémunir contre les CBDC devient un acte de lucidité.
Et maintenant ?
Quand la justice devient l’arme du politique, qui juge vraiment qui ? Mike Borowski revient sur l’affaire Natacha Rey, et ce que Brigitte Macron et le système ont voulu faire taire, en direct sur GPTV !
