Le pouvoir n’est plus ce qu’il était. Là où jadis l’État s’incarnait dans la discrétion et la gravité, il devient aujourd’hui un théâtre de posture, une vitrine de vanité. Emmanuel Macron ne gouverne plus, il se met en scène. Michel Fize le dit sans détour : « Macron est un nul mégalomane qui se prend pour un être d’exception. » Cette phrase claque, mais elle résume à elle seule une époque où le storytelling remplace l’action. Et pendant que le décor brille, les fondations s’effondrent. Certains, pour échapper à cette illusion de gouvernance, se tournent désormais vers des solutions concrètes de souveraineté face aux crises numériques, ou s’informent autrement via cette lettre confidentielle qui décrypte les véritables enjeux.
L’ère de l’image a inversé la hiérarchie des priorités. Convaincre n’est plus nécessaire. Il suffit d’impressionner. Un tweet bien envoyé, une punchline agressive, un selfie au bon moment : voilà la nouvelle méthode de persuasion. Mais cette communication de façade ne produit que du vide. Macron parade en Europe, Trump gesticule aux États-Unis, et Zelensky dramatise en treillis militaire. Pendant ce temps, les peuples s’appauvrissent, les tensions s’aggravent, et le dialogue démocratique s’étiole. Dans ce contexte, certains s’arment intellectuellement via des ressources fiables sur la manipulation numérique en cours et consultent les dossiers exclusifs de contre-pouvoir pour mieux comprendre les véritables rapports de force.
Le plus inquiétant ? Cette théâtralisation du pouvoir s’accompagne d’une perte totale de compétence. Ces figures politiques n’émergent plus des corps intermédiaires, ni des grandes écoles de pensée. Trump sort de Wall Street, Macron de la banque Rothschild, Zelensky d’un studio télévisé. Leur légitimité repose sur le charisme, pas sur la compétence. Le débat est remplacé par l’invective. Le désaccord devient une offense. En pleine déliquescence du leadership mondial, il est plus que jamais essentiel d’explorer les outils de résistance financière et politique, tout en suivant les rares voix dissidentes qui osent encore lever le voile.
Cette déconnexion du réel a un prix. En refusant la nuance et l’écoute, ces nouveaux monarques médiatiques créent un vide politique que la société civile ne parvient plus à combler. Le citoyen, transformé en spectateur, se désengage. Pire : il finit par ne plus croire en rien. Les décisions tombent d’en haut, hors sol, hors sens. Pourtant, des outils existent pour reprendre du pouvoir, comme ces solutions concrètes pour contrer la numérisation forcée de l’économie ou ces lettres d’information indépendantes qui offrent une lecture lucide du chaos actuel.
Conclusion :
La politique d’aujourd’hui ne repose plus sur des idées, mais sur des images. Macron, Trump, Zelensky ne sont plus des dirigeants : ce sont des influenceurs en costume. Leurs discours ne visent plus à construire un avenir, mais à maintenir une illusion. Et si nous ne réagissons pas maintenant, le rideau ne tombera jamais sur ce théâtre de l’absurde — il nous engloutira.
Michel Fize, Christian Combaz, Lara Stam et Nicolas Stoquer décortiquent ce nouveau visage du pouvoir en direct sur Géopolitique Profonde.