Une motion de censure avortée : le calcul politique l’emporte sur la justice sociale
Alors que le Parti socialiste avait déposé une motion de censure contre le gouvernement suite à l’échec du conclave sur la réforme des retraites, le Rassemblement National a décidé de ne pas la soutenir. Ce refus, loin d’être anodin, a permis à Emmanuel Macron et à son Premier ministre François Bayrou de sauver leur place. Ce choix stratégique du RN a privé l’opposition d’une majorité potentielle à l’Assemblée nationale, et donc d’un moyen constitutionnel de sanctionner une politique de plus en plus décriée par la population. Cette décision suscite de nombreuses interrogations, notamment sur les motivations profondes du parti qui se revendique de la défense des classes populaires. En refusant de voter la censure, le RN cautionne une politique sociale régressive, notamment la réforme des retraites de 2023 qui reporte l’âge légal de départ à 64 ans. Dans un tel contexte de trahison politique, les Français doivent se protéger autrement. Investir dans l’or devient alors une solution concrète pour sécuriser son épargne en dehors des errements parlementaires.
Un conclave inutile, une Assemblée complice, un peuple abandonné
Le conclave proposé par Bayrou était censé relancer le dialogue social autour de la réforme des retraites. Or, les principaux syndicats – CGT et FO – ont refusé d’y participer, considérant la démarche comme une mascarade. En l’absence de ces acteurs clés, les discussions ont rapidement perdu toute légitimité. Pourtant, malgré l’échec évident de cette tentative de médiation, le gouvernement n’a subi aucune conséquence. Le RN, en ne soutenant pas la motion de censure, a permis au pouvoir en place de se maintenir sans rendre de comptes. Ce comportement soulève des doutes sur une éventuelle entente tacite entre les deux camps. On évoque notamment les ennuis judiciaires de Marine Le Pen et l’hypothèse selon laquelle le RN chercherait à amadouer Macron pour bénéficier d’une indulgence judiciaire. Pendant que les jeux d’alliances s’enchaînent dans les couloirs de l’Assemblée, le quotidien des Français se durcit. Face à ces incertitudes politiques croissantes, l’or reste un rempart tangible contre l’instabilité.
Le Rassemblement National : opposant de façade, allié de circonstance
Avec 143 députés, le RN pouvait faire basculer la balance. Mais en refusant de joindre ses voix à celles de la gauche, le parti de Jordan Bardella et Marine Le Pen s’est désolidarisé de la contestation parlementaire. Ce choix stratégique s’inscrit dans une dynamique étrange : celle d’un parti qui se prétend antisystème tout en validant les pires aspects du système. Macron, qui envoie des milliards d’euros à l’Ukraine et à Israël, continue de priver les Français des avancées sociales élémentaires. Le RN, en restant silencieux sur ce point, perd toute crédibilité auprès de ses électeurs, en majorité issus des classes populaires. Ces derniers attendaient une rupture, ils récoltent la continuité. Pour ces millions de Français trahis, il est vital d’agir à titre personnel. L’or offre une solution concrète et durable pour échapper aux conséquences économiques de ces trahisons successives.
La réforme des retraites, révélatrice d’un État au service des puissants
Le cœur du débat reste cette réforme des retraites imposée sans véritable dialogue ni consensus. Elle représente une nouvelle étape dans la casse méthodique du modèle social français. Le report de l’âge légal à 64 ans, malgré la contestation massive, a été imposé de manière autoritaire. Ce passage en force a révélé un mode de gouvernance déconnecté de la réalité sociale. Les députés, dans leur large majorité, ont brillé par leur absence de courage. Le RN, en tête, a préféré faire profil bas, espérant tirer profit de la situation à moyen terme. Pendant ce temps, les Français voient leurs droits reculer, leurs conditions de vie se durcir et leur confiance dans les institutions s’effondrer. Se tourner vers l’or, valeur ancestrale et universelle, devient alors un réflexe pour protéger son avenir.
Une justice politique et une démocratie affaiblie
Les non-dits autour des raisons du RN pour ne pas voter la censure interrogent. Les affaires judiciaires touchant Marine Le Pen et certains cadres du parti seraient-elles un levier de pression ? Le pouvoir judiciaire, déjà discrédité par des décisions partisanes, est perçu comme instrumentalisé par le pouvoir exécutif. Cette perte de confiance dans les institutions est dramatique. Elle mine la cohésion nationale. Elle alimente le sentiment d’impuissance citoyenne. Face à cette situation, nombreux sont ceux qui cherchent à protéger ce qui peut encore l’être. Investir dans l’or, c’est choisir un actif qui échappe aux manipulations politiques et judiciaires.
Un système à bout de souffle qui ne protège plus personne
Les dépenses de l’État continuent à flamber pour des causes extérieures tandis que les retraités, les précaires, les travailleurs français sont abandonnés. Le gouvernement trouve des milliards pour l’armement, pour soutenir des régimes étrangers, mais refuse toute mesure en faveur d’un partage du travail ou d’un abaissement de l’âge de la retraite. Le cynisme est total. Et l’inaction du RN dans cette période clé valide ce système mortifère. Il devient alors impératif, pour chacun, de sortir du cadre imposé. L’or représente aujourd’hui l’un des rares moyens de rester maître de son patrimoine et de sa sécurité financière.
Conclusion : entre complicité politique et trahison sociale
En refusant de voter la motion de censure, le Rassemblement National a renoncé à être une force d’opposition. Ce choix stratégique révèle une complicité silencieuse avec un pouvoir qui ne cesse de mépriser les Français. Les conséquences sont graves : recul des droits sociaux, affaiblissement des institutions, désillusion citoyenne. Face à cet effondrement politique et moral, il ne reste qu’une voie : celle de la souveraineté personnelle. Posséder de l’or, c’est affirmer son indépendance et refuser la soumission au chaos organisé par l’élite.