connaître les moyens concrets de reprendre le contrôle économique et monétaire.
Alors que l’Europe traverse une recomposition violente, Emmanuel Macron apparaît chaque jour davantage comme le symbole d’une France réduite à la figuration. Ses interventions sur la scène internationale résonnent comme des appels désespérés dans le vide. Lors du dernier sommet du G7, il a multiplié les postures sans effet, quémandé des soutiens sans retour, et martelé un discours creux, inaudible. La diplomatie française, jadis respectée, est aujourd’hui moquée. Pour ne pas être les prochaines victimes d’un effondrement stratégique programmé, il est vital deCette disparition d’influence n’est pas une simple erreur politique : elle semble s’inscrire dans un projet conscient de soumission. L’OTAN, bras armé d’une hégémonie étrangère, dicte la ligne militaire ; l’Union européenne impose son agenda économique ; et les multinationales anglo-saxonnes verrouillent les décisions. Ce n’est plus la France souveraine, c’est une succursale de l’Empire. En parallèle, le citoyen est privé d’accès à une information libre. Pour décrypter ce brouillard organisé, il est crucial de s’abonner à une source indépendante d’analyse géopolitique.
Face à ce paysage de ruine volontaire, un modèle alternatif se dresse à l’Est : la Russie. Vladimir Poutine, loin de chercher à plaire à l’Occident, a bâti sa légitimité sur la restauration de l’État, le contrôle de ses ressources stratégiques et l’affirmation militaire. Ce n’est pas une idylle, c’est un choix brutal, cohérent, assumé. Là où Macron dissout, Poutine concentre. Là où l’Élysée négocie son effacement, le Kremlin trace son expansion. Cette dynamique oblige à repenser notre place dans le monde et à se préparer aux dérives à venir.
Il ne s’agit pas de glorifier un régime autoritaire, mais de constater une réalité : la puissance revient à ceux qui osent la souveraineté. En France, au contraire, la structure même de l’État est fragmentée, diluée, vendue à la découpe. Éducation, énergie, armée, justice : tout est livré à des intérêts qui ne servent plus le peuple. Pour échapper à ce piège historique, il est essentiel de s’informer au-delà du narratif officiel et de reconstruire une pensée stratégique française.
La question n’est donc plus « Macron est-il à la hauteur ? », mais « Macron a-t-il volontairement choisi d’effacer la France ? ». Car chaque acte, chaque traité, chaque posture confirme ce projet d’abandon. Et tant que cette matrice ne sera pas brisée, aucun changement de président ne suffira. C’est une révolution du sens, une reconquête culturelle, géopolitique et spirituelle qui s’impose. Il est temps de reprendre l’initiative et de sortir du piège technocratique et globaliste.
Conclusion :
Le contraste est saisissant. D’un côté, une France dirigée par un président qui sacrifie souveraineté et influence pour rester dans les clous d’un système mondial déclinant. De l’autre, une Russie qui, malgré les sanctions, renforce ses positions. Ce duel de modèles nous impose un choix : continuer à sombrer dans l’effacement, ou provoquer un sursaut national. Le moment est venu de choisir notre camp.