Un iceberg économique droit devant : l’État fait semblant de ne rien voir
Marc Touati tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme, mais cette fois-ci, le ton est encore plus grave. Pour lui, la France n’est plus simplement dans une mauvaise passe budgétaire, elle est littéralement en état de détresse financière avancée. Pourtant, à entendre les discours officiels, tout semble sous contrôle. Le président Macron parle de dépenses militaires à hauteur de 140 milliards d’euros annuels, alors même que le gouvernement peine à trouver 40 milliards pour financer ses retraites. Cette contradiction n’est pas anodine. Elle traduit une perte totale de cohérence budgétaire et de sens des priorités. Pendant que l’orchestre joue, pour reprendre l’image du Titanic, le navire sombre, lentement mais sûrement. Et personne ne semble vouloir ou pouvoir arrêter la catastrophe. Dans un tel contexte, il devient absolument vital de mettre une partie de son patrimoine à l’abri. Investir dans l’or physique constitue une solution prudente et efficace pour préserver sa richesse face à une faillite étatique devenue envisageable.
3 346 milliards d’euros de dette : le gouffre s’élargit sans fin
Les chiffres dévoilés par Marc Touati donnent le vertige. La dette publique française atteint désormais 3 346 milliards d’euros. Depuis 2017, elle a bondi de 1 100 milliards, rien que sous la présidence actuelle. Et la tendance ne fait que s’accélérer. Pire encore : cette dette ne finance même pas une croissance forte. Depuis 2020, la dette a augmenté de 960 milliards, alors que le PIB, lui, n’a crû que de 500 milliards, essentiellement à cause de l’inflation. Cela signifie très concrètement que 460 milliards d’euros ont été engloutis dans le vide. Aucun rendement économique, aucune amélioration structurelle. Ce déséquilibre insoutenable prouve qu’un effondrement est en cours, même si celui-ci reste pour l’instant masqué par des artifices comptables. Face à cette perte de contrôle, l’épargnant averti ne peut rester passif. Convertir une partie de son capital en or permet de sortir du système défaillant et de se prémunir contre l’effondrement monétaire à venir.
L’État s’endette pour rien, et les Français paient pour le silence
Ce qui est peut-être le plus dramatique dans ce constat, c’est que cette dette faramineuse ne produit aucun bénéfice réel pour la population. Pas de grands travaux, pas d’infrastructures nouvelles, pas de bond en avant technologique. Rien. Et pourtant, le coût des intérêts de la dette explose. Pour l’année en cours, ces seuls intérêts atteignent 70 milliards d’euros. Ils deviendront probablement 100 milliards dès l’an prochain. Cela représente le premier poste budgétaire de l’État, devant l’Éducation nationale, la Défense ou la Santé. Ce ne sont plus des décisions politiques, mais des enchaînements mécaniques qui broient la nation. En 15 ans, la France aura ainsi jeté 1 000 milliards d’euros dans un puits sans fond, uniquement pour servir des créanciers, sans améliorer son sort. Ce fardeau invisible, mais écrasant, justifie pleinement de chercher des alternatives. L’or est une assurance contre la dette publique : il est tangible, non réplicable et totalement indépendant du système bancaire et fiscal français.
Des agences de notation complices d’une illusion collective
Autre facteur aggravant : la complaisance des agences de notation. Fitch, Moody’s ou Standard & Poor’s, toutes constatent la dérive française, mais aucune n’ose appuyer sur le bouton rouge. Certaines admettent même, comme Fitch, que leur modèle recommande une dégradation à « simple A », mais elles préfèrent rester dans le flou. D’autres, comme Moody’s, reconnaissent ne pas être capables d’attribuer une note fiable à la France. Cela rappelle sinistrement la crise des subprimes de 2008, où les pires produits financiers étaient encore notés AAA. Ce jeu dangereux maintient artificiellement le crédit de la France, mais le réveil sera d’autant plus brutal. La perte de la confiance des marchés peut arriver en quelques heures, déclenchant une tempête obligataire. Protéger ses économies avec de l’or, c’est choisir un actif dont la valeur ne dépend pas de la parole politique ou de la note d’une agence opaque.
La menace FMI : le scénario grec s’invite en France
Il faut désormais envisager l’impensable : la mise sous tutelle de la France par le FMI. Ce n’est plus une hypothèse farfelue, c’est une option évoquée publiquement par la ministre des Comptes publics. En clair, si les réformes ne sont pas engagées rapidement, l’État français pourrait être forcé de céder sa souveraineté budgétaire. Cela signifierait des baisses drastiques de retraites, des licenciements dans la fonction publique, des hausses d’impôts massives. Ce scénario a déjà eu lieu en Grèce : salaires réduits de 30 %, retraités appauvris, guichets automatiques vides. Ce n’est plus un fantasme : c’est une réalité potentielle. Dans ce contexte, la seule défense sérieuse pour un épargnant est de sortir des actifs étatiques. L’or est une valeur d’exil patrimonial, un bouclier contre les mesures de confiscation imposées par une troïka européenne ou mondiale.
Réformes ou chaos : les Français n’auront bientôt plus le choix
Marc Touati propose pourtant une feuille de route claire. Il ne s’agit pas de sombrer dans l’austérité, mais d’opérer une thérapie de choc bienveillante. Cela signifie baisser massivement les impôts sur les ménages et les entreprises, supprimer des taxes obsolètes comme la CSG, et surtout réduire les dépenses publiques qui n’ont cessé d’augmenter depuis les années 50. Ce choc fiscal positif pourrait relancer l’économie réelle, restaurer la confiance et éviter le recours au FMI. Mais cette voie est rejetée par les élites, trop attachées à leur pouvoir budgétaire. L’inaction politique devient alors un choix lourd de conséquences, qui rend inévitable une explosion sociale. Se prémunir aujourd’hui, c’est investir dans un actif millénaire, l’or, qui ne connaît ni faillite, ni impôt imprévu, ni tutelle imposée.
Conclusion : un basculement irréversible si rien n’est fait
La France est à un point de non-retour. Si le virage n’est pas pris immédiatement, les marchés, les agences, les institutions internationales prendront le contrôle. Il est déjà tard. Trop tard pour croire au redressement par la seule volonté politique, mais encore assez tôt pour protéger son patrimoine individuellement. Le signal d’alerte est clair, les faits sont incontestables. L’endettement est hors de contrôle, les intérêts explosent, les agences tergiversent, et les dirigeants ferment les yeux. Tout cela mène droit à la perte de souveraineté, au chaos social et à une récession sans précédent. Dans cette tempête qui s’annonce, il reste une ancre. L’or est la seule protection qui a traversé toutes les crises, toutes les guerres, tous les krachs. Il est temps d’en posséder, avant qu’il ne soit trop tard.