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lundi 14 juillet 2025 - 06:57

Vos assurances-vie sont en danger : le piège des fonds euros et la menace de blocage par l’État

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Le piège invisible des assurances-vie en fonds euros

Les contrats d’assurance-vie, présentés comme le placement préféré des Français, sont en réalité une bombe à retardement. Pourquoi ? Parce que la plupart des fonds euros sont investis à hauteur de 75 % en obligations d’État. Or, ces titres ont été massivement acquis durant les années où les taux d’intérêt étaient proches de zéro. À l’époque, cela paraissait prudent. Aujourd’hui, c’est une source majeure de fragilité, car les taux ont brutalement grimpé à 3,5 %, voire plus. Ces obligations anciennes ne valent presque plus rien sur le marché secondaire. Le capital des épargnants est donc piégé dans des titres dévalorisés. Pour éviter de subir de plein fouet ce choc obligataire, investir dans l’or physique est une solution prudente et autonome

Vos rendements sont écrasés par l’inflation… et le seront encore longtemps

Alors que les taux du marché obligataire augmentent, les fonds euros continuent de servir des rendements anémiques autour de 2 à 2,5 %, bien inférieurs à l’inflation réelle. Pourquoi ? Parce que les compagnies d’assurance sont enfermées dans leurs portefeuilles d’obligations anciennes, qui rapportent peu. Résultat : le pouvoir d’achat de votre assurance-vie s’effondre lentement mais sûrement, année après année. Cette situation ne va pas s’améliorer à court terme. Les assureurs ne peuvent pas réagir rapidement, car liquider les anciennes obligations maintenant entraînerait de lourdes pertes comptables. Face à l’érosion du rendement, protéger son capital avec de l’or devient une stratégie défensive incontournable

Le vrai danger : la panique des épargnants et le blocage de vos fonds

Le risque n’est pas seulement comptable. Il est psychologique et systémique. Si les épargnants prennent conscience de la faiblesse des rendements et commencent à retirer massivement leur argent, cela provoquerait un effet domino fatal. Pour rembourser ces retraits, les assureurs seraient contraints de vendre leurs obligations… à perte. Cela creuserait des déficits dans leurs bilans, pouvant entraîner une crise de solvabilité. Et c’est précisément pour prévenir cette situation que l’État a légalement prévu de pouvoir bloquer les retraits, via une mesure d’exception : la loi Sapin 2. Pour échapper à tout risque de blocage de votre épargne, détenir de l’or en dehors du système bancaire est une protection essentielle

La loi Sapin 2 : le filet invisible qui menace votre liberté financière

Peu de Français le savent, mais la loi Sapin 2, votée en 2016, donne à l’État un pouvoir sans précédent : celui de geler les retraits des contrats d’assurance-vie pendant six mois, voire plus si nécessaire. Il suffit que le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) estime qu’il y a “menace grave pour la stabilité financière”, et toutes les portes de sortie se ferment immédiatement. En cas de krach obligataire, cette clause pourrait être activée du jour au lendemain, sans préavis, sans vote parlementaire, sans possibilité de recours. Votre argent resterait bloqué, alors même que le système vacille. Ne laissez pas l’État décider à votre place du moment où vous pouvez disposer de votre épargne : l’or reste accessible à tout moment

Le gel des contrats serait légal, mais catastrophique pour les épargnants

En apparence, cette mesure vise à stabiliser le système. En réalité, elle sacrifie l’épargnant individuel au profit des institutions. Vous avez besoin de votre argent ? Il sera bloqué. Vous espériez sécuriser votre retraite ? Vos fonds seront indisponibles. Le système se sauve, mais vous êtes le fusible. Et ce risque est bien réel. Les marchés obligataires sont sous tension extrême, et de nombreux économistes anticipent une correction violente. En cas de crise, tout peut basculer en quelques heures. Préservez votre autonomie et votre accès à votre argent en diversifiant dès maintenant dans l’or physique

Peut-on vraiment parler de « capital garanti » quand on investit dans des dettes d’États surendettés ?

Il est légitime de se poser une question de bon sens : comment peut-on croire que son capital est garanti, alors que les fonds euros des assurances-vie sont investis majoritairement en obligations d’États eux-mêmes en faillite technique ? Regardons la réalité : la France, comme la plupart des pays occidentaux, dépasse les 110 % de dette publique sur PIB, emprunte pour rembourser ses intérêts, et voit sa charge de la dette exploser avec la hausse des taux. Croire que ces titres sont “sans risque”, parce que détenus par l’État, est un mirage entretenu par la communication institutionnelle. Le mot “garanti” n’a plus aucun sens quand celui qui garantit est lui-même au bord du gouffre. Et surtout, cette « garantie » est en euros, une monnaie dont le pouvoir d’achat s’effrite chaque année. Pour sortir de cette illusion de sécurité, rien ne vaut l’or physique, hors du système et sans contrepartie étatique

Le mirage de la garantie : FGAP et FGDR explosés

Maître Hélène Feron-Poloni: “Le déni s’explique aussi parce que les institutions financières font circuler ce discours selon lequel les fonds sont garantis, que nos dépôts sont garantis. Il y a la garantie pour les établissements bancaires avec le fonds de garantie des dépôts, et il y a la garantie au titre des contrats d’assurances vie et de capitalisation avec le fonds de garantie des assurances. Mais c’est complètement faux ! Si la SG qui a 11 millions de clients fait faillite, ce fonds de garantie des dépôts réparti entre ces 11 millions de clients fait que chacun d’entre eux percevra à peine 100 euros. Et on vient vous dire que la Garantie est de 100 000 euros et d’ailleurs les clients ont intérêt à répartir leurs fonds sur différentes banques comme ça, ils auront plusieurs fois 100 000 euros, ce qui est complètement FAUX ! Premier dépôt d’une banque de place, crédit agricole, Société Générale,.. le fonds de garantie est mis à SEC ! Donc, il n’y a pas de garantie !“

Son analyse s’applique autant aux dépôts qu’aux assurances-vie. Le FGAP ne couvre que 70 000 € par assureur, et son capital total est ridiculement minuscule face aux 1 900 milliards d’euros d’encours du secteur national. En cas de faillite majeure, la protection légale ne suffit pas, ce qui rend l’achat d’or indispensable comme valeur refuge tangible et indépendante.

Conclusion : un placement sûr… devenu un piège doré

L’assurance-vie, vantée comme “sans risque”, est devenue un piège financier aux fondations fragiles. Non seulement son rendement est laminé par l’inflation, mais elle est exposée au risque obligataire et à l’arme légale du blocage étatique. Dans un contexte où les États sont eux-mêmes surendettés et les taux de plus en plus volatils, la confiance ne suffit plus. Il est temps de prendre des mesures concrètes, de reprendre le contrôle, et d’ancrer une partie de votre patrimoine dans des actifs tangibles et universellement reconnus. L’or reste aujourd’hui le seul rempart fiable face aux dérives du système et aux restrictions à venir

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