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dimanche 20 juillet 2025 - 04:33

Le rapport de la Cour des comptes révèle une dette française hors de contrôle. Les finances publiques vacillent… Avec Philippe Béchade !

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Une crise déjà installée

La Cour des comptes vient de publier un rapport qui confirme ce que nombre d’observateurs redoutaient : les finances publiques françaises sont en train de franchir un point de non-retour. L’endettement explose, atteignant plus de 3 000 milliards d’euros. Pire encore, le déficit budgétaire, censé se résorber après les plans de relance post-Covid, reste supérieur à 5 % du PIB. Ce niveau est intenable, surtout dans un contexte de remontée des taux d’intérêt qui renchérit chaque mois le coût du service de la dette. Malgré ces alertes, le gouvernement n’a enclenché aucun véritable plan de redressement. Face à cette inertie, les épargnants lucides se tournent vers des actifs qui échappent à la gestion politique et monétaire, notamment l’or physique, reconnu pour sa capacité à préserver la valeur dans les périodes d’instabilité.

“Dormez braves gens” : la politique de l’autruche

La réaction politique face à ce diagnostic sévère est particulièrement inquiétante. En dépit de la gravité de la situation, les dirigeants continuent d’afficher un optimisme de façade. Les prévisions de croissance sont régulièrement surestimées pour masquer le dérapage budgétaire, tandis que les dépenses publiques restent rigides. Le refus d’assumer la réalité empêche toute correction structurelle. Ce manque de rigueur alimente un sentiment d’impunité institutionnalisé, où l’endettement devient un mode de gouvernance. Dans ce contexte, il devient indispensable pour les citoyens de chercher une autonomie financière. C’est pourquoi l’or s’impose comme un refuge hors système, non soumis aux promesses creuses des élites politiques.

105 milliards d’euros d’économies : mission impossible ?

Pour que la France revienne sur une trajectoire budgétaire soutenable, il faudrait réduire les dépenses de 105 milliards d’euros d’ici 2027, selon la Cour des comptes. Un objectif titanesque, surtout en période d’inflation persistante et de mécontentement social généralisé. Cette économie suppose une refonte complète de l’État, la suppression de nombreuses agences publiques et une redéfinition des priorités stratégiques. Or, cette ambition reste absente des discours de Matignon comme de l’Élysée. Il est donc probable que la situation empire avant même qu’un quelconque effort ne soit entrepris. Pendant que les décideurs procrastinent, l’or offre un rempart à ceux qui refusent d’être pris au piège d’un système budgétaire en faillite.

Agences publiques : un puits sans fond

Le rapport dresse un constat alarmant sur la prolifération des agences publiques : des milliers de structures, souvent redondantes, grèvent les finances sans aucune évaluation sérieuse de leur efficacité. Certaines d’entre elles n’ont même jamais été auditées depuis leur création. La Cour dénonce un gaspillage massif et appelle à un contrôle renforcé. Mais le politique, redoutant les conflits avec les corporatismes installés, reste muet. Ce refus de rationaliser l’administration illustre une incapacité chronique à gouverner dans l’intérêt collectif. À l’inverse, l’or ne dépend d’aucune agence, d’aucune subvention, et garantit un capital que nul gouvernement ne peut dilapider.

Pourquoi l’État refuse l’audit global

La Cour des comptes suggère la réalisation d’un audit global des finances publiques. Une idée logique, voire indispensable, mais à laquelle aucun gouvernement n’ose s’attaquer. Ce silence laisse penser que les responsables eux-mêmes craignent la vérité des chiffres. À l’étranger, des figures comme Elon Musk appellent à un audit fédéral transparent. En France, la peur de voir éclater les mensonges accumulés paralyse toute réforme ambitieuse. Cette dissimulation systémique affaiblit la confiance dans l’État. En réponse, l’or agit comme une vérité monétaire, une valeur incontestable, décorrélée des manipulations comptables.

L’impunité politique devient la norme

Un autre point choquant relevé par Philippe Béchade : malgré des bilans désastreux à des postes clés, certains ministres sont promus au niveau européen. Ce recyclage élitiste montre une absence totale de sanction politique. La responsabilité a disparu. L’inefficacité n’est plus un frein à la carrière publique. Cette déconnexion entre performance et nomination accentue la défiance populaire. Face à cette caste coupée du réel, se tourner vers l’or permet de se réapproprier son avenir financier sans dépendre de ces élites défaillantes.

Crise hospitalière et explosion administrative

Dans les hôpitaux, les écoles, les collectivités, la situation devient absurde. On dénombre plus de contrôleurs, d’auditeurs et de consultants que d’acteurs de terrain. Le personnel soignant manque, les enseignants sont sous tension, mais l’État continue de financer des “missions” administratives au détriment de la qualité de service. Cette bureaucratisation extrême consomme des ressources précieuses tout en démoralisant les professionnels de première ligne. Or, ce déséquilibre entre fonction et finalité fragilise tout le modèle social. À l’inverse, l’or concentre sa valeur sur l’essentiel : la stabilité, la pérennité, et l’utilité en période de chaos.

Une politique énergétique sous influence étrangère

La France a sacrifié son indépendance énergétique en obéissant aux directives européennes qui imposent un mix énergétique instable. En délaissant le nucléaire, pourtant pilier de sa souveraineté, le pays se retrouve dépendant de technologies intermittentes et coûteuses. Cette soumission aux injonctions idéologiques bruxelloises alourdit la facture pour les ménages et fragilise la compétitivité. L’énergie devient un vecteur d’appauvrissement. Dans ce climat incertain, l’or agit comme une source d’autonomie patrimoniale, un actif non sujet aux caprices politiques.

Conclusion : face à l’aveuglement, miser sur la lucidité

Le tableau dressé par la Cour des comptes est sans appel : nous vivons dans un État surendetté, inefficace et aveugle à sa propre dérive. Le refus des audits, l’inaction face à l’urgence budgétaire et la prolifération d’organismes inutiles condamnent la France à une crise durable. Il ne reste qu’une voie de bon sens pour ceux qui souhaitent protéger leur patrimoine : convertir une part de ses économies en or physique. Ce choix, loin d’être spéculatif, relève d’une stratégie de bon père de famille. Dans un monde où tout vacille, l’or demeure le socle le plus solide pour traverser les tempêtes.

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