Avant les années 1950, la polio paralytique était un fléau. Franklin Delano Roosevelt (FDR) lui-même a été paralysé alors qu’il était âgé de trente ans, la « March of Dimes » était une association pour aider mes bébés et leurs mères, a été lancée pour le combattre cette maladie, et les photos de rangées d’enfants dans des « poumons d’acier » étaient courantes sur les médias . À partir de cette situation, des vaccins ont été développés pour lutter contre la maladie.
La polio a été causée par l’un des trois types de poliovirus qui peuvent provoquer la paralysie et la mort. Dans les années 1950, deux vaccins ont été développés indépendamment pour le combattre, l’un par Jonas Salk et l’autre par Albert Sabin. La polio a été éradiquée et aujourd’hui, ces vaccins sont considérés comme des médicaments miracles. Mais l’étaient-ils à l’époque ?
Au début des années 1950, Salk a été le premier à proposer un vaccin. Le sien a été conçu pour traiter les trois virus de la polio à la fois. Son approche semblait assez basique. Il s’agissait de cultiver des poliovirus en laboratoire, de les tuer, puis d’injecter les virus morts à des enfants en bonne santé. L’idée était que les virus morts ne pouvaient pas se reproduire, donc ils ne pouvaient pas nuire aux enfants. Le système immunitaire des enfants, cependant, détecterait les virus injectés et produisait des anticorps efficaces contre eux, créant ainsi une immunité contre la polio.
Juste avant le début des inoculations de masse, des échantillons du vaccin Salk ont été envoyés aux National Institutes of Health (NIH) pour des tests de sécurité.
Là-bas, lorsque la bactériologiste Dr Bernice Eddy a injecté le vaccin à ses singes, certains d’entre eux sont tombés paralysés. Elle a conclu que le virus n’était pas entièrement mort comme promis. Au lieu de cela, le virus était actif et pouvait se reproduire chez son hôte. Eddy a sonné l’alarme et a présenté ses conclusions. Un débat s’en est suivi dans les coulisses du pouvoir. Les partisans de la prudence ont été rejetés et l’inoculation de masse s’est déroulée comme prévu.
L’inoculation des enfants a commencé en 1955. En quelques jours, certains enfants injectés ont contracté la polio. Certains transmettaient même la maladie à des membres de leur famille. Des enquêtes ultérieures ont déterminé que le vaccin avait causé 40 000 cas de polio, laissant 200 enfants avec divers degrés de paralysie et dix morts. Alton Ochsner, professeur de chirurgie à la Tulane Medical School, était un fervent partisan de la poursuite du programme d’inoculation qu’il a administré des injections de vaccins à ses petits-enfants pour prouver qu’il était sans danger. Le petit-fils d’Ochsner est décédé de la polio quelques mois plus tard, et sa petite-fille a contracté la polio mais a survécu.
Ce fiasco est devenu connu sous le nom de « l’incident Cutter ». Il porte le nom du fabricant du vaccin. Le vaccin a été rappelé et retesté pour la sécurité, mais le mal avait déjà été fait dans l’esprit du public.
Passons à la deuxième version du vaccin contre la polio, le Sabin.
En 1957, un vaccin antipoliomyélitique inactivé (VPI) et des vaccins antipoliomyélitiques oraux vivants mais affaiblis (VPO) ont été préparés à partir de cultures cellulaires primaires dérivées de reins de singe rhésus.
Selon l’ « American Association for Cancer Research », il a été déterminé plus tard que les vaccins fabriqués à partir de ces cultures étaient contaminés par le virus infectieux cancérigène SV40 . Le CDC a estimé que jusqu’à 30 % des vaccins antipoliomyélitiques administrés de 1957 à 1963 contenaient ce virus du singe cancérigène. Le Dr Eddy a également été impliqué dans la découverte de cela, bien qu’il ait été détourné vers d’autres recherches après sa première découverte.
Cela a-t-il entraîné une épidémie de cancer ? Certains pensent que oui, car il y a eu une forte augmentation du cancer des tissus mous au cours des décennies suivantes. L’établissement médical n’est pas d’accord, affirmant que seul un « petit » nombre de cas de cancer peut être attribué aux vaccins contre la polio. Quoi qu’il en soit, c’était un fait qu’un virus cancérigène était présent dans les vaccins contre la polio et que le gouvernement a tenu le public dans l’ignorance. Cela a été fait pour éviter l’hystérie de masse et pour empêcher la perte de confiance du public dans la médecine et les vaccins en particulier.
L’une des conséquences des dommages causés par ces premiers vaccins antipoliomyélitiques est que de nouvelles réglementations et procédures de sécurité strictes ont été instituées. En outre, une loi a été adoptée pour exempter les fabricants de vaccins de dommages-intérêts civils en raison des effets secondaires de leurs vaccins. 42 US Code 300aa-22 — Norme de responsabilité stipule ceci : « Aucun fabricant de vaccin ne sera responsable dans une action civile des dommages résultants d’une blessure ou d’un décès lié au vaccin associé à l’administration d’un vaccin après le 1er octobre 1988. »
La polio est pratiquement inconnue aujourd’hui. Mais est-ce à cause des vaccins ou d’autres facteurs ? Notez que la polio se propage par contact avec des matières fécales infectées, ce qui se produit souvent à cause d’un mauvais lavage des mains. Il peut se propager en mangeant ou en buvant des aliments ou de l’eau contaminée. Dans certains cas, il peut se propager lorsqu’une personne infectée tousse ou éternue des gouttelettes infectées dans l’air. Il semblerait qu’à mesure que l’hygiène s’améliore et que l’assainissement s’améliore, la polio va diminuer. Tout cela était connu dans les années 50.
Quoi qu’il en soit, une leçon à retenir de ces premiers vaccins antipoliomyélitiques est qu’il ne faut surtout pas agir trop hâtivement car sinon il y aura des dégâts inutiles. À l’époque, ces vaccins ont été distribués d’urgence au public sans être testés de manière adéquate en raison de la panique suscitée par la maladie. Il faut se demander si nous ne sommes pas en train de vivre le même genre de chose aujourd’hui avec les vaccins contre le COVID. Il y a des similitudes entre ce qui s’est passé alors et ce qui se passe maintenant, notamment s’il on tient compte de la pression politique pour inciter toute la population à croire en ce remède miracle. Est-il possible ou même probable que la pression politique ait compromis les protocoles de sécurité et les procédures standard de la FDA et de Big Pharma qui sont là pour garantir que seuls des vaccins sûrs sont délivrés à l’usage du public ? Le temps nous le dira.
Source: zerohedge
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