Nous voyons tous les effets du paradoxe de la crise de la dette. Et cela ne semble être un « paradoxe » que du point de vue de la sagesse conventionnelle sur la question. La dette publique est en effet mauvaise pour l’économie, mais pas du tout comme la plupart des gens sont amenés à le croire ou à le supposer. Cela crée un autre paradoxe, celui où la critique dominante contribue grandement à discréditer toutes les critiques, rendant ainsi encore plus probable l’endettement.