L’Ether, concurrent du Bitcoin, qui comptait prouver la fiabilité des monnaies virtuelles, s’est fait hacker.
Des pirates informatiques ont dérobé l’équivalent de plus de 48 millions de francs de monnaie numérique à un fonds d’investissements expérimental, selon le New York Times samedi. Celui-ci avait justement été créé pour prouver la fiabilité de ces crypto-monnaies.
La somme a été volée à la DAO (Decentralized Autonomous Organization). Le fonds d’investissements avait collecté l’argent en Ether, une monnaie numérique concurrente du Bitcoin.
Grâce à un projet de financement participatif, la DAO était parvenue à lever 150 millions de dollars afin de prouver l’invulnérabilité de cette technologie. Avec ce vol, elle a donc perdu un tiers de ses avoirs, un coup dur pour le projet.
La technologie sur laquelle sont basées ces nouvelles monnaies dématérialisées est le «Blockchain», de plus en plus en vogue dans le monde de la finance où elle pourrait un jour trouver une utilité.
Blockchain
Apparu en 2009 avec les monnaies virtuelles, le «Blockchain» est un code informatique généré par un logiciel de cryptage qui permet de transcrire des opérations financières effectuées en crypto-monnaies. Il permet de faire circuler l’argent aussi librement que les données sur Internet, un potentiel que veulent exploiter les établissements financiers.
Toutefois, les informaticiens ont mis l’accent ces derniers mois sur les vulnérabilités des codes utilisés par le projet DAO,selon le New York Times.
Vendredi, ses programmeurs hésitaient à simplement modifier leur code. Cela leur permettrait de récupérer leur argent, mais ce faisant, ils renieraient le principe même qui conduit leur projet.
Arguments
«Je reconnais qu’il y a de solides arguments qui vont dans les deux sens, et il y aura de fortes oppositions, peu importe la direction que nous allons prendre», a reconnu sur le réseau social Reddit Vitalik Buterin, fondateur et programmeur du projet Ether. Le vol a en tout cas fait plonger le cours de l’Ether vendredi.
De la même manière, le Bitcoin avait été sérieusement dévalorisé début 2014 quand Mt Gox, une des principales plates-formes d’échanges utilisant cette monnaie virtuelle, a fait faillite. Le patron de cette société, basée au Japon, avait alors expliqué avoir été victime d’une attaque informatique qui aurait entraîné in fine le vol ou la disparition d’une fortune en Bitcoins.
Source: tdg
Heureusement que je ne suis pas adepte de ce bitte cogne ainsi que de toutes ces monnaies de jeux vidéo.
Ouais les soi disant plus cultivés ou ceux qui croient l’être sont souvent les plus meprisants T’aurais du faire de la politique tête de chou rave.
Je ne pense guère qu’il en soit ainsi pour vous.
Le terme de bitcoin est à se rapprocher de celui de facebook, ce qui est prononcé en langue française: fesse-bouc, renvoyant aux sorciers et sorcières qui étaient accusés d’embrasser les fesses du diable lors des sabbats, toujours dans cette idée symbolique de la relation ambigüe que les étasuniens entretiennent avec la France et son langage, donc au-delà, inconsciemment, de son histoire.
Encore bien expliqué merci !!
Mais pour cela il faudrait attendre les nouvelles génération d’internet, car les vieux de ce monde comme moi(40ans) et +, n’oserons pas s’aventurer dans ce labyrinthite informatique 😉 Trop peur d’être mangé, l’or physique reste encore pour notre génération + sécuritaire à mon avis…
Comme dirait l’autre: « C’est quoi l’histoire du jus de fruits ? »
Et passionné d’informatique !!!
🙂
L’Éther était le mot employé pour désigner, au XIX° siècle, une substance inconnue permettant au cosmos de fonctionner tel qu’il était observé, jusqu’à ce que Einstein montre que cette hypothèse était inutile.
L’ éther est aussi une substance soporifique employé pour endormir les patients lors des opérations et, ce, jusqu’aux années 50/60.
Bite-coin, en français dans le texte, renvoie, lui, à une symbolique plutôt étrange, un phallus tordu, une virilité manquant de droiture.
Sachant qu’au vu de l’histoire des U.S.A., cet empire vorace comme l’appelait François Mitterrand, la langue française a toujours, inconsciemment, représenté celle du charme, du bon goût et du savoir-vivre.
Notre inconscient est intimement lié à notre histoire familiale et du ou des pays et peuples dont nous sommes issus, ainsi que de l’histoire de notre humanité et celle de la vie, c’est l’inconscient collectif.
Ce qui veut dire qu’il puisse exister des penseurs détachés de tout affect est d’une absurdité sans nom, même l’autiste asperger a des états d’âme.
En fait, croire aux bites-coins est une façon de rejeter son humanité en voulant que ce soit la machine qui prenne la vie des humains en main, une nouvelle manière de recherche de l’éden, un renouveau du communisme ou de l’ultralibéralisme en quelque sorte.
En fait, si vous voulez vivre en pleine virtualité, libre à vous, virtualité voulant dire qu’elle ne l’est que tant qu’elle reste telle mais dès qu’elle devient réalité, toute virtualité disparait, elle n’est pas le néant, elle n’est pas réalité, mais elle se trouve dans l’entre-deux, pouvant pencher d’un coté ou de l’autre et dès lors disparaissant en tant que telle.
C’est pourquoi le bite-coin est, philosophiquement, psychologiquement, peut-être même scientifiquement et, dès lors, ontologiquement, une pure foutaise.
C’est pourquoi, aussi, réalité et virtualité sont, par nature, antinomiques et paradoxaux.
C’est drôle cette manière profonde de philosopher en étalant sa confiture, tout en détournant l’attention sur la profonde ignorance du sujet donné.
Est-ce que vous en brillez au moins ?
« En fait, croire aux bites-coins est une façon de rejeter son humanité …
On dirait un freudien qui voit du sexe et des problèmes mentaux de partout.
Changez rien, j’adore !
« virtualité voulant dire qu’elle ne l’est que tant qu’elle reste telle mais dès qu’elle devient réalité, toute virtualité disparait, elle n’est pas le néant, elle n’est pas réalité, mais elle se trouve dans l’entre-deux, pouvant pencher d’un coté ou de l’autre et dès lors disparaissant en tant que telle »
Où comment brasser du vent avec un peu de logique pour rajouter du beurre à la confiture ! Nous voilà avec une magnifique tartine. 😀
« Bite-coin, en français dans le texte, renvoie, lui, à une symbolique plutôt étrange, un phallus tordu, une virilité manquant de droiture. »
Encore du Freudisme. Sublime. On prend un concept, on y rajoute du sexe là où il n’y en a pas, et on tire une conclusion qui nous fait du bien.
Pensez à tirer la chasse en sortant, merci !
En fait, je me fous complètement de ce que vous pensez de mes écrits, surtout de la part de ceux n’ayant, comme argument, que le discrédit, cela ne reflétant que l’incompréhension de mon approche de ce sujet.
Une doctrine, je sais ce que c’est, la croyance en icelle aussi et tout autant ses composantes psychologiques.
Ici, je ne cherche que des informations, toutefois extrêmement parcellaires en raison des présupposés de ce blog purement économiques centrée surtout sur un Occident transatlantique.
La fragilité des bites-coins vient d’y être exposée et, ce, avec raisons et celle-ci sont très nombreuses, tant économiques, techniques, philosophique, psychologiques, sociologiques, anthropologiques que politique.
De dire que je n’y connais rien est facile, mais il faut me l’expliquer à tous ces niveaux parce que chacun représente le maillon d’une chaine ne pouvant que rompre si l’une d’entre-elles saute.
Alors, je vous laisse à vos petits délires scientistes (moi aussi je sais faire preuve d’injure et de dédain),cela n’est pas mon affaire hormis le simple plaisir de m’amuser à vos dépens.
Commencez par écrire Bitcoin correctement.
Puis continuez en apprenant le fonctionnement de Bitcoin pour ensuite y appliquer vos théories, qu’importe si justes ou fausses, « tant économiques, techniques, philosophique, psychologiques, sociologiques, anthropologiques que politique ».
Hé ben!
Tu t’es attiré la fureur des aficionados! 😉
Quand au discrédit comme argument, c’est vrai. Mais quand on tombe sur une personne d’une ignorance arrogante qui prétend autant que vous le faîtes, que peut-on faire à part en rire ?
Bien sûr que non vous ne vous foutez absolument pas de ce que je pense de vos écrits, votre réponse n’est pas le signe du mépris. Votre égo se devait de répondre.
Ça, c’est bien vu, vous voyez, vous aussi vous employez des termes psychanalytiques, ce que vous me reprochiez auparavant.
Il m’en a fallu de l’énergie pour faire sortir le loup du bois!
voyez-vous, les gens comme vous croient ce qu’ils disent mais trichent avec leur croyance à la première occasion.
Ainsi, si vous apprenez qu’il serait possible de voler des bites-coins, entre avertir ce système de ses faiblesses ou en profiter pour le voler, vous choisirez toujours la seconde de ces possibilités.
J’vous ai pris les mains dans l’sac-queu, tra-la-la-lalèreu!
Ainsi, de votre seule réponse, vous entérinez ce que je viens d’écrire.
Comprenez que je ne porte, sur vous, aucun jugement de valeur, et saisissez que nous n’avons plus de publique puisque les informations, sur ce site, passent très rapidement.
Les faiblesses du type de personnalité que vous représentez ici sont de trois sortes:
-Une culpabilité inconsciente oppressante vous obligeant de fonctionner tel que vous le faites;
-Une impossibilité de percevoir la réalité hormis celle de vos croyances unilatérales que vous ne cessez de trahir;
-Un irrépressible besoin de vous mettre en danger, seule émotion que vous n’avez pas enfoui en vous, seul sentiment restant vous permettant de vivre en vous en en donnant l’impression.
Le reste, impossibilité de supporter la frustration, impossibilité de supporter vos propres erreurs en rejetant la faute sur d’autres, vide émotionnel, recherche sans fin de jouissances de toutes sortes, impossibilité de décisions cohérentes et efficaces, flagornerie, prudence et crainte envers les plus puissants, violences, ad minima verbales, envers les plus faibles, tendances à la manipulation, désir de pouvoir pour le pouvoir, désintérêt pour le bien commun, absence d’empathie, narcissisme maladif, une incompétence destructrice et j’en passe, ne sont que les effets de vos fragilités sus-nommées.
Ces personnalités telles que je viens de les décrire sont nécessaires aux sociétés à un moment bien précis de leur développement, celui où elles ont des difficultés pour mettre à bas leurs anciennes structures pour en reconquérir de nouvelles.
C’est en effet l’aspect particulièrement destructeur de ce genre d’individu qui en fait la nécessité, rôle qu’il joue à merveille.
Ensuite ces gens sont naturellement chassés et détruits, par la ruine, guerre, guerre civile, révolution, épidémie et pandémie, etc…, enfin tout ce que génère un puissant stress social dont vous êtes, pour moitié et en large partie, la cause, avec celle, bien entendu, de cette nécessité sociale de générer de la nouveauté en détruisant l’ordre ancien.
En fait, une bonne partie de ces gens, dont vous êtes, sont les descendants de ceux qui avaient mis en place cette structure sociale que vous aidez à détruire à votre corps défendant, ceci grâce à vos penchant égoïstes et asociaux.
D’autres personnalités participent au même processus social, comme il en est de la monté en force de nouveaux ordres sociaux novateurs, en même temps que votre genre prend le pouvoir, quel qu’en soit le type, et commence à détruire ce qui l’y avait mis en place.
C’est ainsi que les religions, les empires, les puissances dirigeantes, les anciennes chefferies, les croyances, les certitudes, même, disparaissent, pour laisser place à un modernisme dynamique qui pourra aborder un nouveau cycle du développement humain.
Vous êtes ainsi des marionnette inconsciente d’un processus social complexe et inéluctable dont l’histoire en fait le terreau.
J’oubliais de préciser le plus subtile de votre fonctionnement et de vos fragilitées: vous paniquez très facilement dès que vous avez le sentiment que vous perdez le contrôle sur votre monde, puis vous vous autodétruisez lorsque vous avez l’impression que ce monde disparaît à vos yeux, que cette impression soit réel ou supposée.
Loool
Ok, mais si je peux me permettre, et sans vouloir t’offenser, n’oublies jamais de garder ton sang froid, d’éviter l’argumentum ad personam, ça te décrédibilise malheureusement…
Inutile de persuader les gens de l’ingéniosité de la création de Satoshi avec tous les moyens possibles que t’offre la communication, à l’instar d’un homme politique. Concentres-toi sur de l’argumentation la plus dénuée d’émotion/sentiment, pour privilégier les faits et la technique, vulgarisée ou non. Sur un projet de ce genre, type logique/mathématiques, ce sont les personnes les plus rationnelles/intelligentes à qui il faut susciter le désir d’approfondir ce sujet pour créer un engouement général. Tourner le sujet pour que monsieur tout-le-monde s’y intéresse est cause perdue pour l’instant…
Qu’en penses-tu ?
Jacques Favier écrit des articles français sur le Bitcoin des plus remplis d’histoire et de culture. Toujours un plaisir à lire. Il a fait salle comble, d’où les bruits de fonds, et l’impossibilité d’avoir eu son micro-cravate dès le début, la personne devant lui amener étant bloquée par la foule !
Tu devrais préciser que le Ledger est un projet français !
Si les français ne sont pas forcément les mieux informés sur le sujet (à en voir les commentaires/notes ici), ni n’en sont les plus gros détenteurs, etc, il y a un vrai vivier d’idées/réalisations par chez nous.
Disons que je préfère avoir trois ares pour faire de la pomme de terre que des bittes cogne qui ne me serviront jamais a rien,ah si peut être pour échanger contre des billets de Monopoly…?
Le mec qui ne doit même pas savoir reconnaitre une aubergine d’un poivron ou un frêne d’un aulne glutineux et qui donne des leçons d’intelligence a tout ce site avec ces misérables bittes cogne anh ah ah
Pour être plus exact que l’article, c’est le langage de programmation d’Ethereum qui, étant trop peu adapté à une telle situation, a créé un bug permettant à un pirate de détourner de l’argent.
Ethereum est immature, pousse le concept du smart contract beaucoup trop loin. Ce qui arrive n’est donc pas étonnant malheureusement pour ceux qui croient en ce projet.