Plus de 400 000 retraités exercent également une activité professionnelle en France. Pour beaucoup, il s’agit d’une nécessité, pour arrondir les fins de mois.
Au cœur de la Bretagne, quand il s’agit de bricoler dans une maison, on peut compter sur Jean Dubar, un retraité qui travaille. Cet ancien conducteur de travaux cumule sa pension avec une activité d’autoentrepreneur. Sur ce chantier, il refait tout le carrelage au sol. Un travail physique qui ne lui fait pas peur. « Physiquement, je n’ai pas trop de problèmes, j’ai 68 ans, je ne ressens pas encore trop le poids des ans », explique Jean Dubar. Un chantier dure en moyenne une à trois semaines, et il se ménage toujours une période de repos de 15 jours après.
« Je travaille à mon rythme, mais ça se traduit par des tarifs plus intéressants. Je demande 10 euros de l’heure, ça me parait correct », témoigne-t-il. Avec les chantiers, il gagne en moyenne 400 euros par mois. Un complément de revenus indispensable. Lorsqu’il a pris sa retraite, il a dû souscrire un emprunt, qu’il doit rembourser 1 500 euros par mois. Sa pension est de 2 000 euros par mois, il ne lui reste donc que 500 euros pour vivre.
Les retraités manifestent partout en France pour leur pouvoir d’achat
France: la détresse des retraités
Source: francetvinfo
Que les retraités réfléchissent au fait qu’ils ne sont pas éternels ; qu’ils profitent du peu de temps qu’il leur reste, n’oublions pas que nos ainés se sont battus pour cela, laissons ainsi le travail à la génération suivante et qui ne demandent que de travailler.
De toute façon les richesses dans la tombe ne servent à rien.
Quand un retraité ou celui qui a l’âge pour prétendre à la retraite, occupe un emploi rémunéré, il devrait verser le double des cotisations en solidarité des travailleurs privés d’emploi, ce ne serait que justice vis-à-vis de ceux qui attendent, ce serait le système des vases communicants, le trop plein des uns compenserait le manque des autres, ainsi tout le monde y trouverait son compte, car le travail des retraités serait considéré par les autres, comme une œuvre de solidarité, et non seulement comme une privation d’emploi pour les autres.
cet après midi,
j’ai rencontré un retraité agriculteur en tenue de travail.
je le sais depuis longtemps, il aide son fils à la ferme à temps plein.
quelques échanges, et entr’autre:
« ben alors, il te paye » lui dis-je
« ha non, j’ai ma retraite » me répond-il …
ou comment « déclarer une situation économique saine »
par le biais d’une main d’oeuvre gratuite …
Si les retraites étaient à des niveaux acceptables, ils n’auraient sans doute pas besoin de travailler. Ce système de retraite est une arnaque, une gigantesque chaîne de Ponzi !
-1) « Lorsqu’il a pris sa retraite, il a dû souscrire un emprunt, qu’il doit rembourser 1 500 euros par mois. »
Premier malaise ! Il a dû ??? Comment ça, par quel tour de passe-passe ???
-2) « Sa pension est de 2 000 euros par mois, il ne lui reste donc que 500 euros pour vivre. »
Foutage de gueule bis ! 2.000€ ??? de pension ??? Donc cette personne a dû cumuler de hauts salaires durant toute son activité et arrivée à la retraite elle se rend compte qu’elle doit emprunter ??? Il nous prends pour des crétins ou quoi ?
-3) et de chialer avec ces « il ne me reste que 500€ » ; c’est pitoyable et merdique de s’exprimer ainsi.
Encore un bel exemple raté !
Les vieux d’aujourdhui sont vraiment des gratteurs et des pleurnicheurs, nous on sait que la retraite ça sera trou de balle, au maximum 1000 balles et encore, mais on ne dit rien, la majorité silencieuse a moins de 60 ans en France
2000 euros de pension, dire que les smicards tournent à 1140 euros net par mois après passage de la mère maquerelle « État »
Remarquez Jean Dubar a choisi de bosser au lieu de compter sur la solidarité avec l’argent des autres c’est tout à son honneur
400 000 jeune chomeurs pointent au Pole emploi..
Le problème qui semble ressortir de ce reportage ce n’est pas tant d’avoir une bonne retraite que de surtout ne plus avoir de crédit sur le dos…
Il y a malheureusement des accidents dans la vie comme évoqué dans le 1er cas. Mais le cas de cette dame apparemment seule qui se plaint de galérer parce qu’elle entend continuer à rembourser un pavillon bien trop grand pour elle et surtout bien au dessus de ses moyens me fait bien sourire! Si elle était moins « matérialiste », elle revendrait cette baraque (tant que ça se vend encore…) et elle se choisirait un logement plus en rapport avec ses moyens et lui permettant de profiter sereinement des années qui lui restent à vivre..
Un peu comme ces gens sur les aires d’autoroutes qui se tapent un sandwich minable sur le coffre de leur rutilante bagnole de luxe (en location longue durée) car une fois qu’ils ont payé la mensualité, ils n’ont plus les moyens de se permettre un repas à 15€ à la cafétéria… 😉
Ces gens là bouffent le pain des jeunes….qui restent au chômage….